mercredi 14 décembre 2011

Lectures Ake EDWARDSON-Le dernier hiver

Ake EDWARDSON
Le dernier hiver
Traduit du Suédois par Marie-Hélène Archambeaud
(4ème de couverture)
Un matin de décembre, une patrouille de police est appelée dans un appartement de Vasastan. Sur les lieux, un jeune homme, en état de choc, prétent s’être réveillé et avoir trouvé sa petite amie morte auprès de lui, un oreiller sur la tête.
Quelques jours plus tard, un meurtre identique se produit : une jeune femme est étouffée dans un bel appartement du même quartier, son compagnon à ses côtés. Coïncidence ? Malgré leurs dénégations, les deux hommes sont les principaux suspects.
Pourtant, un détail dans les deux appartements intrigue une jeune auxiliaire de police, qui ne peut s’empêcher d’y repenser.
Un détail qui cloche…
« Le Dernier Hiver » est l’ultime épisode de la série des aventures du commissaire Winter et de ses collègues de la police de Göteborg, saluée à travers le monde entier.
« L’écriture, à la fois poétique et elliptique, anime chaque roman de la série. » Télérama
« Ake Edwardson se montre incisif sur les problèmes sociaux et politiques qu’il prend à bras-le-corps en privilégiant un style nerveux et très dialogué. » Lire
(Les personnages principaux :)
Erik Winter, Bertil Ringmar, Gerda Hoffner.
(1ere phrase :)
On avait composé le 112 à 5 h 32 et 18 seconde. Une vie à sauver.
(Dernière phrase :)
Il fut tiré vers le bas, il aperçut un visage, le visage de quelqu’un, un bras, une jambe, il flottait maintenant dans l’air, il sentit l’eau sur son visage, il entendit du bruit, mais c’était un bruit déformé, comme venant d’un autre monde, comme en rêve, il comprit qu’il était sous l’eau.
377 pages – Editions Jean-Claude Lattès 2008 (2010, pour la traduction française)
(Aide mémoire perso :)
Tout débute par un appel téléphonique. Un homme signale que sa compagne est morte.
La nouvelle auxiliaire de police accompagnée d'un collègue, se rend dans les beaux quartiers. Ils découvrent un homme apeuré et une femme allongée dans le lit étouffée par un oreiller.
Quelques jours plus, même scène. L'auxiliaire de police retourne vers un autre appartement. Le mari est nu à côté du lit. La femme étouffée par un oreiller.
A première vue, ces hommes sont coupables. Mais, la jeune auxiliaire persuadée dès le premier instant qu'ils sont bels et bien les assassins, commence à avoir des doutes. Elle en informe l'inspecteur. Pas de suite.
Elle se décide à en parler à Erik Winter qui se sent fatigué de cotoyer la mort à l'approche de la cinquantaine. L'auxilière lui décrit ce qui la tracasse et Winter suit son cheminement.
Les deux hommes ne sont pas coupables mais étrangement, la famille des victimes est reliée à l'Espagne.
Winter se sent très mal à l'aise d'autant qu'un beau jour de cet hiver, accompagné de sa femme et de ses filles, leur joie s'est envolée ; un cadavre s'est échoué sur leur plage privée. Pourquoi ? Hasard ?
Excellente dernière enquête de Winter.

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