jeudi 31 décembre 2020

Dessins de presse

  


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 Dessins de presse

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Bye Bye 2020


  Dessins de presse

Recettes Tartes-Tarte à l’orange


Tarte à l’orange

Préparation : 30 mn
Cuisson: 25 mn
Pour 6 personnes
350 g de pâte brisée
6 oranges
150 g de sucre
25 g de beurre
1 œuf
1. Préchauffez le four à 200 °C (th. 6-7).
2. Etalez la pâte dans un moule d’environ 25 cm de diamètre. Piquez le fond à la fourchette.
3. Râpez le zeste d’une orange et pressez-la.
4. Mélangez à la fourchette l’œuf, 125 g de sucre, le zeste et le jus d’orange.
5. Pelez à vif les 5 autres oranges, puis coupez-les en rondelles très fines.
6. Versez le mélange sur le fond de tarte et disposez les rondelles d’orange dessus, en les faisant se chevaucher joliment.
7. Faites fondre le beurre, versez-le sur la tarte et saupoudrez du sucre restant. 
8. Mettez au four pour 25 minutes environ.
9. Laissez tiédir avant de démouler, et servez froid.
Conseil :
Vous pouvez parsemer cette tarte de graines de sésame.



Recettes Tartes-Tarte aux brocolis



Tarte aux brocolis

 Préparation : 15 mn
Cuisson : 30 mn
 

Pour 4 personnes
1 rouleau de pâte à pizza de 230 g
500 g de brocolis
400 g de brousse
3 œufs
30 g de parmesan râpé
Noix de muscade
Sel et poivre

1. Préchauffez le four à 210 °C (th.7). Faites chauffer de l’eau dans une casserole. Étalez la pâte à pizza dans un moule à tarte.
2. Lavez les brocolis, séparez-les en bouquets. Faites-les cuire pendant 3 minutes dans la casserole d’eau bouillante, salez. Égouttez les brocolis, écrasez-les à la fourchette, puis déposez-les sur la pâte.
3. Dans un saladier, mélangez la brousse avec les œufs, salez, poivrez, ajoutez un peu de noix de muscade et répartissez ce mélange sur les brocolis. Saupoudrez de parmesan. Enfournez et laissez cuire pendant 30 minutes.
4. Servez cette tarte chaude ou tiède avec une salade de roquette ou d’endives.

Cette délicieuse tarte réconciliera vos enfants avec les brocolis.

Variante 

Ajoutez, en fin de cuisson, des amandes mondées grillées dans une poêle.

Ultra rapide 

Utilisez des bouquets de brocolis surgelés.



mercredi 30 décembre 2020

Billets-Entretien avec Zygmunt Bauman


Entretien avec Zygmunt Bauman

“Nos sociétés refoulent des populations entières hors du corps social”
Il y plusieures grilles de lecture pour tenter de comprendre l’attentat contre Charlie Hebdo. Le multiculturalisme de façade de nos sociétés qui excluent les plus humbles en est une, estime le célèbre penseur Zygmunt Bauman.

Superficialité du multiculturalisme, soumission aux lois du marché qui excluent les plus humbles et en font des "parias" du progrès sociotechnologique, humiliation de l'autre. Tels sont les mécanismes fondamentaux que le regard vertical de Zygmunt Bauman décèle dans les événements de Paris.

Le philosophe et sociologue polono-britannique d'origine juive est un grand interprète de la modernité, qui dilue les édifices compliqués de notre vie en un continuum "liquide" et fuyant. "L'assassinat politique est une forme de violence directement liée aux antagonismes humains, difficile à éradiquer", déclare Bauman au Corriere della Sera.  

  • En quoi la violence politique dirigée contre Charlie Hebdo diffère-t-elle des autres ?
Il faut souligner une première différence avec les attentats du 11 septembre 2001, dirigés non pas contre des personnages connus ou jugés responsables de crimes, mais contre des symboles du pouvoir économique et militaire, le World Trade Center et le Pentagone. En s'attaquant à des objectifs d'une grande valeur médiatique, l'assaut du 7 janvier 2015 reflète au contraire la conscience publique d'un glissement progressif du pouvoir réel vers les lieux où se créent les opinions.

En outre, l'attaque contre le journal a été conçue comme un acte de vengeance "personnel", en vogue depuis la fatwa lancée par l'ayatollah Khomeyni en 1989 contre Salman Rushdie pour ses Versets sataniques. Si le 11 septembre 2001 "dépersonnalisait" la violence politique, en s'efforçant de provoquer le plus grand nombre de victimes et d'accaparer l'attention, le 7 janvier répond à la désinstitutionalisation et à l'individualisation de la condition humaine dans notre société. Dans ce contexte, ceux qui fabriquent et distribuent l'information deviennent les protagonistes du drame du vivre-ensemble.

  • Un vivre-ensemble menacé par le sentiment d'aliénation que les minorités ethnico-religieuses éprouvent souvent dans des sociétés fragmentées. Comment le rapport à l'islam s'insère-t-il dans ce mécanisme ? La tragédie de Paris, ville paradigme des valeurs occidentales, ouvre-t-elle un nouveau chapitre de la guerre séculaire entre les civilisations et les religions ?
Les lectures de ces derniers jours focalisées sur l'antagonisme entre le christianisme et l'islam recèlent une part de vérité, mais ne peuvent pas embrasser la totalité d'un phénomène complexe. L'élément décisif pour comprendre les nouvelles dynamiques doit être recherché, à mon avis, dans un monde marqué par les diasporas. Le voisin avec qui nous partageons rues, structures publiques, écoles et lieux de travail était hier encore un lointain étranger. Une proximité déstabilisante, puisque nous ne savons pas à quoi nous attendre. Et, à l'inverse de ce qui se passe dans la dimension virtuelle et sur les réseaux "sociaux", il n'est pas possible de supprimer ou d'ignorer d'un clic des différences presque trop réelles, inconciliables avec notre point de vue.

Les réponses que nous avons concoctées jusqu'ici se sont révélées un échec. Un multiculturalisme superficiel, une fascination pour la diversité ont envahi nos vies, qui se traduisent par un goût de la cuisine ethnique ou des festivals du dimanche, de simples flirts avec un brin d'exotisme. Des variantes du consumérisme mondial au temps de Facebook. Un système qui reconnaît la légitimité de cultures différentes de la nôtre, mais ignore ou refuse tout ce qu'elles comportent de sacré et de non négociable. Ce manque d'un respect authentique s'avère profondément humiliant.

  • Une humiliation qui peut rendre la situation sociale explosive ?
C'est le propre de l'humiliation que de chercher une forme d'absolution ou de réparation. Quand cela arrive, nous découvrons que les frontières entre ceux qui humilient et ceux qui sont humiliés se superposent aux frontières entre privilégiés et dominés. Nous vivons sur un terrain miné, sans pouvoir prévoir les prochaines déflagrations.

  • En ce sens, le roman de Michel Houellebecq sorti en France le jour de l'attentat, Soumission, a-t-il vu juste ?
Soumission est la deuxième grande dystopie [récit de fiction qui décrit un monde utopique sombre] de Houellebecq après La Possibilité d'une île. Dans ce livre, Mohammed Ben Abbes [du parti Fraternité musulmane] remporte la présidentielle française de 2022 au coude à coude avec Marine Le Pen. Un couple loin d'être fortuit. Peut-être prophétique, si nous ne réussissions pas à inverser le cours d'une Histoire qui a trahi les espoirs de liberté et d'égalité colportés par la démocratie.
Nous assistons à la montée d'un sentiment antidémocratique dans toute l'Europe, à une sécession en masse d'une nouvelle plèbe qui converge vers les deux extrêmes de l'échiquier politique, attirée par les promesses de l'autocratie. La parole du Prophète rassemble ainsi sous sa bannière les humiliés, les marginaux, les exclus, assoiffés de vengeance.

  • Quelle réponse apporter ? Vous soutenez que la force de la morale réside dans la liberté consciente du "je", et pas dans le pouvoir coercitif d'un "nous" impersonnel. Le refus du fondamentalisme part de là ?
Dans sa première Exhortation apostolique : Evangelii Gaudium (du 24 novembre 2013) le pape François a mis le doigt sur la grande soumission, notre capitulation devant un capitalisme licencieux, effréné, aveugle à la misère humaine. Vous ne trouverez pas de réponse plus profonde et exhaustive à cette question. Le souverain pontife a dénoncé cette culture du "paria", qui va au-delà de l'exploitation et bannit des populations entières des progrès du bien-être, des masses qui ne sont plus simplement opprimées ou marginalisées mais bien refoulées "hors" de la communauté, "hors" du corps social. Cela est absolument inacceptable, et nous devons nous y opposer.

Source courrierinternational.com
Propos recueillis par Maria Serena Natale


Zygmunt Bauman à Prague, le 22 octobre 2012 - AFP/Michal Cizek


Billets-Pour un droit au blasphème !


Pour un droit au blasphème !

Il ne s’agit pas de faire l’éloge du blasphème, ni d’inciter au blasphème, mais bien de s’assurer que son expression est permise.
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Au lendemain de notre deuil national, il nous faut nous rassembler, nous unir, mais également nous interroger. Avons-nous toujours indéfectiblement été les partisans de la liberté d’expression face à la satire religieuse ? N’avons-nous pas failli dans notre défense des caricaturistes de Charlie Hebdo ?

Car le « délit de blasphème » existe bel et bien en droit français ! Il a été invoqué en 2013 à l’encontre… de Charlie Hebdo. Entre les survivances du vieux droit français, le nouvel attirail juridique créé depuis quarante ans, et la menace de nouvelles lois liberticides, la liberté d’expression si fortement clamée par les manifestants du 11 janvier a du souci à se faire.

Commençons par faire le ménage dans notre propre législation, en clarifiant le droit à la satire et à la critique des dogmes religieux. C’est d’autant plus nécessaire que de nombreuses voix, dont celle du Pape François, se sont élevées récemment pour demander de « ne pas insulter la foi ».

Il ne s’agit pas de faire l’éloge du blasphème, ni d’inciter au blasphème, mais bien de s’assurer que son expression est permise.

Un délit de blasphème en France ?

Abrogé dans le Code Pénal en 1791, le délit de blasphème reste en effet en vigueur en droit local alsacien, codifié à l’article 166 du Code Pénal local. Est condamné à une peine de 3 ans d’emprisonnement « celui qui aura causé un scandale en blasphémant publiquement contre Dieu par des propos outrageants, ou aura publiquement outragé un des cultes chrétiens ou une communauté religieuse établie sur le territoire de la Confédération et reconnue comme corporation, ou les institutions ou cérémonies de ces cultes, ou qui, dans une église ou un autre lieu consacré à des assemblées religieuses, aura commis des actes injurieux et scandaleux ». L’article 167 réprime quant à lui la perturbation d’offices religieux.

Ainsi, assigné en justice en février 2014 pour délit de blasphème par la « Ligue de défense judiciaire des musulmans », Charlie Hebdo a dû se justifier d’avoir caricaturé le prophète Mahomet en vertu d’une disposition du droit local alsacien qui n’avait guère été utilisée que deux fois : en 1997, lorsque cinq militants d’Act Up ont été condamnés pour avoir perturbé une messe en la cathédrale de Strasbourg (condamnation confirmée en 1999 par la Cour de Cassation1), et en 1954 lorsque la Cour d’appel de Colmar a retenu « le trouble volontairement apporté au culte » contre deux personnes qui avaient harangué les fidèles à l’issue d’une messe. Si le procès n’a pas abouti, le reliquat de cette disposition est difficilement justifiable.

De manière plus insidieuse, l’arrêt de la cour d’appel de Paris du 8 avril 2005 censurant une affiche publicitaire considérée comme blasphématoire a tristement fait jurisprudence. En l’espèce, l’association « Croyances et Libertés » avait assigné les créateurs de mode Marithé et François Girbaud et l’agence de pub Air Paris pour « injure visant un groupe de personnes en raison de leur appartenance à une religion déterminée, en l’occurrence le catholicisme » en raison de « poses lascives » de la Cène de Léonard de Vinci…

On a également assisté à de multiples tentatives de réintroduction d’un véritable « délit de blasphème ». Au niveau international, d’abord : tous les ans depuis 1999, les 57 pays de l’Organisation de la conférence islamique (OCI) tentent d’imposer au Conseil des droits de l’homme de l’ONU que la diffamation des religions, c’est-à-dire le blasphème dans son sens le plus large, soit considérée comme un crime. Mais aussi au niveau national, de la part de députés mal avisés. Ainsi, le 28 février 2006 était déposée une proposition de loi de Jean-Marc Roubaud visant à « interdire les propos et les actes injurieux contre toutes les religions », et le 29 mars 2006 une proposition de loi d’Éric Raoult visant à « interdire le blasphème religieux par voie de caricature ».

Il est temps de clarifier une fois pour toutes la situation juridique du blasphème.

Les limites du droit à la caricature

Il n’existe aucun droit à la caricature mais seulement un rattachement de la caricature à la liberté d’expression.

La caricature est libre conformément aux dispositions de l’article L.122-5 du Code de la propriété intellectuelle disposant que « lorsque l’œuvre a été divulguée, l’auteur ne peut interdire : […] 4º La parodie, le pastiche et la caricature, compte tenu des lois du genre […]». La condition des « lois du genre » fait référence à la nécessité d’un « travestissement comique »: autrement dit, la caricature, si elle n’est pas comique, peut être assimilée à l’injure répréhensible. Or, les caricaturistes de Charlie Hebdo n’avaient pas toujours à cœur de susciter le rire, mais souhaitaient déclencher le débat à travers la provocation.

En reproduisant notamment la caricature de Mahomet du journal danois Jyllands-Posten en 2005 représentant le prophète coiffé d’un turban symbolisé par une bombe, Charlie Hebdo n’avait pas pour objet de faire rire mais bien de grossir le trait, d’exagérer. Il fut poursuivi (en vain) par l’Union des Organisations Islamiques de France (UOIF) pour cette publication.

Parce que la caricature est par définition un abus, un dessin outrancier, et qu’il est par ailleurs interdit d’abuser de sa liberté d’expression, le contrôle de la caricature est inapproprié car revenant à contrôler l’« abus d’abus » ! La caricature ne devrait pas être conditionnée à l’abus : au contraire, un droit absolu à la caricature doit être octroyé pour les sujets religieux. Afin de corriger la dégringolade de la France à la 33ème place des pays protégeant la liberté de la presse selon le classement de 2014 de Reporter Sans Frontières, il nous faut mettre en place un véritable bouclier juridique garantissant une protection pour « blasphèmes ».

Cette nécessité juridique est impérieuse comme en attestent les évènements récents mais également les multiples procès du passé à l’encontre de Charlie Hebdo sur le fondement d’une supposée « incitation à la haine raciale ».

Les multiples procès pour « incitation à la haine raciale »

Charlie Hebdo a toujours été visé par les instances religieuses. La Grande Mosquée de Paris, l’Union des Organisations Islamiques de France, la Ligue Islamique Mondiale, l’Alliance Générale contre le Racisme et pour le Respect de l’Identité Française et Chrétienne et d’autres organisations religieuses n’ont eu de cesse d’assigner Charlie Hebdo en justice, pour incitation à la haine raciale (Article 24 alinéa 6 de la loi de 1881 sur la liberté de la presse) ou pour provocation à la discrimination religieuse (Article 24 alinéa 8 de la loi de 1881). Ces tentatives infructueuses de faire condamner Charlie Hebdopour ce qui relève du blasphème, invoqué indirectement sur les fondements de la haine raciale ou de la discrimination, ont trop souvent été observées avec une sympathie coupable d’une partie de la classe politique.

La caricature religieuse, quoique l’on en dise, a toujours dérangé nos dirigeants. Au lendemain des manifestations parfois violentes partout dans le monde à la suite de la publication en septembre 2005 des caricatures de Mahomet par un journal danois, et reprises par divers journaux dont Charlie Hebdo, le Président de la République Jacques Chirac n’invoquait pas la liberté d’expression mais en appelait « au plus grand esprit de responsabilité, de respect et de mesure »

Heureusement, notre jurisprudence libérale reste le garant de la liberté des caricaturistes soucieuse de protéger des auteurs ayant « une volonté délibérée de forcer le trait et d’user de la caricature afin de rendre leur propos le plus divertissant possible […] et que le côté parodique [de leurs écrits et caricatures] ne saurait échapper à un lecteur averti qui le lira au deuxième degré ». Mais nous devons constater qu’on demande aujourd’hui au juge une tempérance que le législateur est loin de suivre…

Notre droit sacré au blasphème

« Toutes les grandes vérités sont d’abord des blasphèmes » disait le philosophe Bernard Shaw.

Nous avons un droit sacré au blasphème à la fois parce que celui-ci procède de la liberté d’expression de tout citoyen, mais également parce qu’il nous fait avancer vers la manifestation de la vérité par un débat d’opinions provocateur mais nécessaire. Il faut traiter les religions comme des philosophies, discutables et réfutables, sans faire du « respect des croyances » un nouveau tabou.

Ainsi, nous formulons les deux propositions suivantes :
  • Ajouter à l’article 24 de loi du 29 juillet 1881 réprimant l’incitation à la haine raciale l’alinéa suivant : « Toutefois, les caricatures et satires de dogmes religieux, de spiritualités, et d’institutions religieuses ne sauront être punies des peines prévues à cet article ; »

  • Abroger les articles 166 et 167 du code pénal local Alsace-Moselle réprimant le blasphème.

Parce que, comme l’affirmait justement Ernest Renan, « le blasphème des grands esprits est plus agréable à Dieu que la prière intéressée de l’homme vulgaire », il nous faut établir un véritable « droit au blasphème » : la diffamation de religions ou l’incitation à la haine raciale ne pourront plus être invoquées en ce qui concerne la critique et la satire de dogmes religieux.

Cette réponse juridique aux événements tragiques de janvier 2015 reste la solution la plus adaptée et la plus mesurée. Soyons désormais tous des citoyens aux grands esprits, garantissons un droit au blasphème afin de garantir nos libertés individuelles et de renforcer la République.


Source contrepoints.org


Recettes Crumbles-Crumble noisette chocolat


Crumble noisette chocolat


Préparation : 15 mn

Cuisson : 35 mn

Pour 6 personnes

Pour la garniture :

200 g de chocolat noir

10 cl de lait

15 cl de crème fraîche

3 jaunes d’œufs

Pour la pâte :

120 g de farine

100 g de noisettes concassées

100 g de beurre

60 g de sucre

1. Portez à ébullition le lait et la crème, versez le chocolat en morceaux.

2. Laissez fondre à feu doux, puis ajoutez les jaunes en mélangeant pour faire épaissir.

3. Préchauffez le four à 180 °C (th. 5) et beurrez 6 ramequins.

4. Mélangez dans un saladier, la farine, le sucre, les noisettes et le beurre afin d’obtenir des miettes.

5. Versez la crème au chocolat dans les ramequins, couvrez de pâte et mettez au four 20 à 30 minutes.


Variante

Ajoutez des zestes d’orange confits dans le chocolat pour un goût fête.







mardi 29 décembre 2020

Recettes Crumbles-Crumble fruits secs et épices


Crumble fruits secs et épices


Préparation : 30 mn

Cuisson : 35 mn

Pour 6 personnes

Pour la garniture :

7 figues sèches

12 abricots secs

5 pruneaux secs

2 cuillerées à soupe d’amandes entières

2 cuillerées à soupe de cerneaux de noix

2 cuillerées à soupe de noisettes entières

4 cuillerées à soupe de miel

50 g de beurre

Pour la pâte :

250 g de farine

120 g de beurre

50 g de sucre roux

1 cuillerée à café de gingembre en poudre

1. Coupez les abricots, les figues et les pruneaux en petits morceaux et concassez les noisettes, les noix et les amandes.

2. Faites fondre le beurre dans une casserole avec le miel et versez-y le tout.

3. Préchauffez le four à 180 °C (th. 5) et beurrez un plat à gratin.

4. Dans un saladier, travaillez la farine, le sucre et le gingembre avec le beurre pour obtenir une pâte sableuse.

5. Répartissez les fruits dans le plat et couvrez-les de pâte, puis mettez au four 30 minutes, la croûte doit dorer.




Recettes Crumbles-Crumble poires caramélisées


Crumble poires caramélisées


Préparation : 30 mn

Cuisson : 40 mn

Pour 6 personnes

Pour la garniture :

1 kg de poires

50 g de sucre roux

30 g de beurre

1 cuillerée à café de cannelle

Pour la pâte :

220 g de farine

110 g de beurre

80 g de sucre

1. Mélangez dans un saladier, le sucre, la farine, le beurre et travaillez la pâte avec les doigts pour obtenir du sable.

2. Préchauffez le four à 180 °C (th. 5) et beurrez un plat à gratin.

3. Epluchez les poires, coupez-les en morceaux et faites-les caraméliser avec la cannelle, le beurre et le sucre.

4. Quand elles sont dorées, disposez-les dans le plat à gratin et émiettez la pâte sur les poires.

5. Faites cuire 40 minutes, le crumble doit bien dorer.


Conseil

Pour un effet chaud-froid onctueux, servez tiède avec de la crème fouettée.




Recettes Confiseries-Guimauve

Guimauve

Préparation : 25 mn
Cuisson : 7 mn
Repos : 3 heures
Conservation : 10 jours dans une boîte hermétique à l’abri de l’humidité 

Pour 10 cubes environ 
70 g de pulpe de framboises
50 g de miel
240 g de sucre
15 g de gélatine
100 g de blancs d’œufs
1 g de colorant rouge
Sucre glace
Fécule 

1. Faites ramollir la gélatine 5 minutes dans un bol d’eau froide.
2. Dans une casserole, faites cuire la pulpe de framboises avec le miel, le sucre et 4 cl d’eau jusqu’à ce que le sirop atteigne 114 °C (utilisez un thermomètre à sucre). Hors du feu incorporez la gélatine pressée entre vos mains.
3. Dans le même temps, montez les blancs d’œufs au batteur à petite vitesse. Incorporez doucement le sucre cuit. Augmentez la vitesse du batteur et continuez à battre jusqu’à ce que le mélange atteigne 40 °C. Ajoutez le colorant puis versez la guimauve dans un plat préalablement saupoudré d’un mélange composé à parts égales de sucre glace et de fécule.
4. Laissez la guimauve refroidir complètement à température ambiante pendant 3 heures avant de la démouler et de la détailler en cubes (ou autre forme). Roulez les dés dans un mélange sucre glace et fécule pour éviter qu’ils ne collent.



Billets-Au bureau : être ignoré, c’est pire qu’être harcelé


Au bureau : être ignoré, c’est pire qu’être harcelé

Une étude révèle que le manque d’attention de la part des collègues est nocif.

Vous en avez assez de ce crétin de patron qui ne cesse de se moquer de vous ? Vous n’êtes pas le seul. Selon une enquête du Workplace Bullying Institute, plus d’un quart des Américains sont harcelés au travail, le plus souvent par des supérieurs.

Les effets sur les victimes sont sérieux : anxiété, dépression, voire stress post-traumatique. Cependant, si nocive que puisse être cette attention malvenue, il y a quelque chose d’encore plus douloureux pour les travailleurs : ne faire l’objet d’aucune attention. C’est ce qui ressort d’une étude publiée dans la revue Organization Science par Sandra Robinson et son équipe de l’université de Colombie-Britannique, qui ont analysé une série d’enquêtes mettant en parallèle les conséquences de l’ostracisme et celles du harcèlement.

Dans deux de ces enquêtes, un échantillon d’Américains devaient évaluer, d’une part, leur sentiment d’appartenance à l’entreprise et de bien-être au travail et, de l’autre, leur sentiment d’être exclus et harcelés. Résultat : les personnes négligées par leurs collègues – exclues des conversations, ignorées dans les couloirs, etc. – sont plus malheureuses, prennent davantage leur travail en grippe et démissionnent plus souvent que celles qui sont harcelées.

Cette réponse est d’autant plus étonnante que, selon une autre étude menée par ces chercheurs, les employés jugent plus convenable d’ignorer des collègues que de les harceler. “On nous apprend qu’il est socialement préférable d’ignorer quelqu’un : quand on n’a rien d’agréable à dire, mieux vaut se taire, souligne Sandra Robinson.

Mais l’ostracisme conduit les gens à se sentir impuissants, comme s’ils n’étaient pas dignes de la moindre attention.” L’exclusion empêche un travailleur d’avoir des échanges positifs avec ses collègues. “Son principal effet est de déconnecter et d’isoler, de démobiliser, constate l’étude. Cela coupe la cible […] du réseau de relations sociales et l’empêche de réagir à cette forme de maltraitance.”

L’ostracisme n’a pas besoin d’être intentionnel pour être nocif, précise Sandra Robinson. Des travailleurs surchargés ou particulièrement distants n’ont pas forcément conscience d’être cruels en faisant peu de cas de l’un de leurs collègues. Mais ils n’en tranchent pas moins ce lien humain qui semble primordial pour assurer notre bonheur au travail.

Source Courrier International

lundi 28 décembre 2020

Dessins de presse


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dimanche 27 décembre 2020

Recettes Crumbles-Crumble pommes amandes


Crumble pommes amandes

Préparation : 15 mn

Cuisson : 40 mn

Pour 6 personnes

Pour la garniture :

1 kg de pommes

1 cuillerée à café de cannelle

40 g de sucre roux

Pour la pâte :

180 g de farine

100 g d’amandes en poudre

100 g de beurre

60 g de sucre

1. Epluchez les pommes et coupez-les en tranches, faites-les cuire dans une casserole avec la cannelle et le sucre jusqu’à ce qu’elles soient tendres.

2. Dans un saladier travaillez du bout des doigts la farine avec le beurre, le sucre et les amandes pour obtenir une pâte sableuse.

3. Préchauffez le four à 180 °C (th. 5), beurrez un plat à gratin et tapissez le fond avec de la poudre d’amandes.

4. Versez les pommes dans le plat et recouvrez-les de pâte émiettée, puis mettez au four 30 minutes.


Variante

Vous pouvez ajouter des amandes sur la pâte pour qu’elles grillent : croquant et craquant.



Dessins de presse

 


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samedi 26 décembre 2020

Recettes Crêpes Blinis Pancakes-Crêpes figues et feta


Crêpes figues et feta

Préparation : 15 mn

Repos de la pâte : 30 mn

Pour 8 crêpes

Pour la garniture

12 figues

150 g de feta

½ botte de ciboulette

1 cuillerée à soupe de tapenade

3 cuillerées à soupe d’huile d’olive

Poivre

Pour la pâte

125 g de farine

2 œufs

25 cl de lait

50 g de pesto

20 g de beurre pour la cuisson

1 pincée de sel

Préparation des crêpes

1. Versez la farine et le sel dans un saladier et creusez un puits.

2. Dans un autre bol, fouettez les œufs, le lait et le pesto, puis versez dans le puits de farine. Fouettez à nouveau pour obtenir une pâte fluide.

3. Laissez reposer 30 minutes.

4. Mettez le beurre à fondre dans la poêle et versez l’excédent dans un petit bol. Essuyez le surplus avec un papier absorbant.

5. Quand la poêle est bien chaude, versez rapidement une petite louche de pâte et tournez la poêle en tous sens pour bien répartir la pâte sur toute la surface de la poêle. Dosez bien la quantité de pâte dans votre louche : si vous avez trop de pâte votre crêpe sera trop épaisse, mais si vous n’en avez pas assez, elle sera pleine de trous !

6. Quand la surface de la crêpe devient sèche et qu’elle a doré en dessous, au bout de 2 minutes environ, il est temps de la retourner. Faites-la sauter si vous êtes habile ou bien retournez-la à la spatule. Laissez cuire 1 minute sur l’autre face.

7. Déposez vos crêpes au fur et à mesure sur une assiette pour former une pile. Si vous voulez les garder au chaud, recouvrez l’assiette de papier d’aluminium et déposez l’assiette sur une casserole avec un peu d’eau à ébullition.

Préparation de la garniture

8. Coupez les figues en quatre. Emiettez la feta. Coupez finement la ciboulette avec des ciseaux. Mélangez la tapenade et l’huile d’olive.

9. Etalez les crêpes et garnissez chacune d’elles de 6 quartiers de figues, de la feta et de la ciboulette. Poivrez et arrosez d’un peu de sauce à la tapenade. Refermez les crêpes en pannequets. C’est prêt !


Variante

Vous pouvez ajouter quelques lanières de jambon cru et même des lamelles d’olives noires dénoyautées.


Un truc

Pour une présentation au top, vous pouvez fermer vos paquets comme des paquets cadeaux avec des brins de ciboulette. Pour éviter qu’ils ne cassent, plongez les tiges de ciboulettes 3 secondes dans de l’eau bouillante, puis égouttez-les sur du papier absorbant.