dimanche 30 novembre 2025

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samedi 29 novembre 2025

Billets-Le vélo est la mort lente de la planète




′′Le vélo est la mort lente de la planète"

Un banquier a fait réfléchir les économistes quand il a déclaré : ′′ Un cycliste est une catastrophe pour l'économie du pays : il n'achète pas de voitures et n'emprunte pas d'argent pour l'acheter. Il ne paie pas les polices d'assurance. N'achète pas de carburant, ne paie pas pour la révision et les réparations nécessaires de la voiture. N 'utilise pas de parking payant. Il ne provoque pas d'accidents majeurs. Ne nécessite pas d'autoroutes multiples. Il ne devient pas obèse. Les gens en bonne santé ne sont pas nécessaires ou utiles à l'économie. Ils n'achètent pas de médicaments, ils ne vont pas dans les hôpitaux ou chez les médecins, ils n'ajoutent rien au PIB du pays. Tandis que chaque nouveau magasin McDonald' s crée au moins : 30 emplois, dont 10 cardiologues, 10 dentistes, 10 experts en régime alimentaire et nutritionnistes, ainsi que les personnes qui travaillent dans le magasin lui-même, évidemment ". Choisissez donc avec attention : un vélo ou un Mc Donald ? Ça vaut la peine d'y penser... 

PS : marcher c'est encore pire car les piétons n'achètent même pas de vélo ! 

 

Billets-La vieillesse

 



"La vieillesse, c'est quand on commence à dire : "Jamais je ne me suis senti aussi jeune." 

"Dans ce jardin s'épanouissent les fleurs que nous aurions à peine songé cultiver autrefois. Ici fleurit la Patience, une plante noble. Nous devenons paisibles, tolérants, et plus notre désir d'intervenir, d'agir diminue, plus nous voyons croître notre capacité à observer, à écouter la nature aussi bien que les hommes. 

Nous laissons leur existence se développer devant nous sans éprouver aucune volonté critique, avec un étonnement toujours renouvelé face à leur diversité. 

Parfois nous ressentons de l'intérêt et un regret silencieux, Parfois nous rions avec un enthousiasme limpide, avec humour. 

La vieillesse permet peut-être de retrouver le bonheur d'être soi-même. Personne ne peut plus avoir la tentation d'être un autre. Les dés sont jetés. Les émotions troubles qui nous ont traversés, comme la préoccupation de paraître, la possession ou l'ambition, s'atténuent à mesure que s'éloignent les âges de la vitalité et de la vanité. 

C'est alors que beaucoup découvrent... 

Mais il est souvent trop tard - que la merveille est dans l'instant…" 

Bernard Pivot 

Billets- Ne touchez pas aux plus de cinquante ans. Sérieusement

  


 Ne touchez pas aux plus de cinquante ans. Sérieusement.

Ce ne sont pas juste une autre génération : ce sont de véritables survivants. Durs comme du pain rassis, rapides comme les pantoufles de grand-mère lancées avec une précision de boomerang.

À cinq ans, ils “lisaient” déjà l’humeur de leur mère au tintement de la casserole ; à sept, ils avaient un trousseau de clés avec cette consigne : « La nourriture est au frigo : réchauffe-la, mais ne la renverse pas. » À neuf ans, ils savaient préparer un bortsch sans recette ; à dix, ils fermaient la vanne d’eau et fuyaient le chien du voisin avec un seau sur la tête.

Ils passaient la journée entière dehors, sans téléphone, avec un itinéraire bien clair : barre de traction, rivière, retour à la maison à la tombée de la nuit, les genoux constellés de cicatrices — la carte de leurs petites batailles. Et ils ont survécu.

Ils soignaient leurs égratignures avec de la salive et des feuilles de plantain, et quand ça faisait mal, on leur disait :

« Tant que ça ne pend pas, c’est que ce n’est rien. » Ils mangeaient du pain avec du sucre, buvaient à l’arroseur du jardin — un microbiome dont rêverait n’importe quel yaourt — et les allergies ? Ils les ignoraient. Ou, s’ils en avaient, ils n’en parlaient pas. Ils connaissent quinze astuces pour enlever les taches d’herbe, de graisse, de sang ou d’encre, car ils devaient toujours revenir “présentables”. Et ce n’est pas tout. Ils ont connu : – la radio à transistors, – la télé en noir et blanc, – les tourne-disques et vinyles, – les magnétophones à bobines et les cassettes, – les CD et le Discman, … et aujourd’hui, ils transportent des milliers de chansons dans leur poche, mais le crissement d’une cassette qu’on rembobine avec un crayon leur manque encore.

Le permis en poche, ils traversaient le pays dans une vieille voiture, sans hôtel, sans climatisation, sans GPS. Juste une carte routière en papier et un sandwich aux œufs dans la boîte à gants. Et ils arrivaient toujours. Sans Google Translate. Avec le sourire. Ils sont la dernière génération à avoir vécu sans Internet, sans batterie externe, et sans l’angoisse de rester sans charge. Ils se souviennent du téléphone fixe accroché au mur du couloir, des livres de cuisine dans des cahiers, et des anniversaires notés sur le calendrier… ou simplement oubliés. Eux : – réparent tout avec du scotch, un trombone ou une pince, – avaient une seule chaîne de télévision, et ne s’ennuyaient pas, – “feuilletaient” l’annuaire, pas un fil d’actualités, – pensaient qu’un appel manqué voulait dire : “Je vais bien, je te rappelle.” Ils sont différents. Ils ont un “amiante émotionnel”, un système immunitaire forgé dans le manque, et des réflexes de ninja urbain. Ne touchez pas à un quinquagénaire : il a vu plus de choses, vécu plus profondément, et garde dans sa poche un bonbon à la menthe plus vieux que votre enfant. Il a survécu à une enfance sans siège auto, sans casque, sans crème solaire, à une école sans ordinateur portable, à une jeunesse sans scroll infini. Il ne cherche pas les réponses sur Google : il fait confiance à son instinct. Et il a plus de souvenirs que vous n’avez de photos dans le cloud. Dans les Pensées d’Analia

Source de ce post

Kateri Seraphina

jeudi 27 novembre 2025

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mercredi 26 novembre 2025

Recettes Légumes anciens-Quiche au chou romanesco

  


Quiche au chou romanesco

Préparation : 25 mn
Cuisson : 35 mn
Pour 4 personnes
1 chou romanesco
4 fines tranches de jambon de Parme
120 g gorgonzola
3 brins d’origan
3 œufs
20 cl de crème fraîche
1 pâte brisée en rouleau prête à l’emploi
Gros sel
Sel et poivre du moulin
1. Supprimez les feuilles et les trognons du romanesco. Détaillez-le en petites fleurettes. Rincez-les, puis faires-les blanchir 3 minutes à l’eau bouillante salée. Egouttez-les, rafraîchissez-les aussitôt à l’eau froide puis égouttez-les à nouveau.
2. Découennez, dégraissez, puis coupez les tranches de jambon en lamelles.
3. Rincez les brins d’origan. Epongez-les dans du papier absorbant, puis effeuillez-les.
4. Préchauffez le four à 210 °C (th. 7). Dans une jatte, écrasez le gorgonzola à la fourchette. Ajoutez les œufs et la crème, en fouettant jusqu’à consistance homogène. Salez légèrement et poivrez.
5. Déroulez la pâte, en conservant le papier sulfurisé dessous. Garnissez-en un moule à tarte. Répartissez-y les fleurettes de romanesco et les lamelles de jambon. Recouvrez avec la préparation au fromage, puis parsemez des feuilles d’origan.
6. Enfournez pour 30 à 35 minutes. Démoulez sur le plat de service et servez.

Conseil
Avant de démouler la quiche, laissez-la reposer 3 minutes à la sortie du four. Faites-la glisser sur le plat en vous aidant du papier sulfurisé, puis tirez doucement sur ce dernier pour l’éliminer.
Invitez l’Italie sur votre table avec cette quiche savoureuse qui unit le romanesco au gorgonzola et au jambon de Parme. Parfumée d’origan, elle fleure bon les vacances…
Chou romanesco : originaire de Rome, entre chou-fleur et brocoli, il possède une pomme pointue constituée de pyramides vert tendre très spectaculaires. Sa saveur est douce et fine.

Recettes Légumes anciens-Salade romanesco parmesan

  


Salade romanesco parmesan

Préparation : 20 mn
Cuisson :
 10 mn
Pour 4 personnes

1 chou romanesco
2 gousses d’ail

80 g de parmesan

1 cuillerée à soupe d’huile d’olive 

Pour la citronnette balsamique 
1 cuillerée à soupe de jus de citron
1 cuillerée à soupe de vinaigre balsamique
2 cuillerées à soupe de ciboulette ciselée
2 cuillerées à soupe d’huile d’olive
Sel et poivre du moulin

1. Supprimez les feuilles et les trognons du romanesco. Séparez ses fleurettes, rincez-les, puis faires-les cuire 10 minutes à la vapeur : elles doivent rester un peu fermes. Laissez-les refroidir.
2. Pendant ce temps, épluchez les gousses d’ail. Coupez-les en deux, dégermez-les, puis recoupez-les en lamelles. Avec un économe, détaillez le parmesan en fins copeaux.
3. Dans une poêle, faites chauffer l’huile sur feu moyen. Faites-y blondir les lamelles d’ail 30 secondes environ en remuant : elles ne doivent surtout pas brûler.
4. Préparez le citronnette : dans un bol, mélangez le jus de citron avec le vinaigre balsamique, du sel et du poivre, puis émulsionnez avec l’huile. Incorporez la ciboulette et rectifiez l’assaisonnement.
5. Disposez les fleurettes de romanesco sur un plat creux de service. Arrosez-les régulièrement avec la citronnette balsamique, puis répartissez dessus, à la cuillère, les lamelles d’ail et leur huile de cuisson. Parsemez de copeaux de parmesan, et servez à température ambiante.


Conseil
Pour obtenir des copeaux de parmesan joliment incurvés, choisissez un fromage pas trop sec (il s’émietterait), puis creusez, sur le bord de la tranche, une petite cavité arrondie avec un couteau pointu. Vous découperez les coupeaux à l’économe, en suivant les parois de cette cavité.


Chou romanesco : originaire de Rome, entre chou-fleur et brocoli, il possède une pomme pointue constituée de pyramides vert tendre très spectaculaires. Sa saveur est douce et fine.



Recettes Légumes anciens-Pâtissons aux abricots

 


Pâtissons aux abricots

Préparation : 50 mn
Cuisson : 45 mn
Pour 4 personnes
4 pâtissons de 10cm de diamètre
12 beaux abricots bien mûrs
150 g de sucre en poudre
150 g de beurre mou
2 œufs
125 g de poudre d’amandes
1 cuillerée à soupe rase de Maïzena
1 cuillerée à café d’extrait de vanille
1 trait de rhum ambré
Pour le sirop
1 orange non traitée
1 citron non traitée
½ cuillerée à café de gingembre en poudre
2 bâtons de cannelle
5 clous de girofle
4 étoiles de badiane (anis étoilé)
300 g de sucre en poudre
1. Préparez le sirop : lavez les agrumes. Prélavez leurs zestes à l’économe, puis pressez-les pour recueillir leur jus. Dans une grande casserole, mélangez-les avec 70 cl d’eau, le gingembre, la cannelle, les clous de girofle, la badiane et le sucre. Portez à frémissements, puis laissez frémir 20 minutes.
2. Pendant ce temps, lavez les abricots, coupez-les en deux et dénoyautez-les. Dans une sauteuse, faites chauffer 25 g de beurre sur feu moyen. Ajoutez 8 oreillons d’abricots et 25 g de sucre. Remuez 2 minutes, baissez le feu, couvrez et laissez compoter 15 minutes en remuant de temps en temps.
3. Lavez les pâtissons. Découpez-y un chapeau, épépinez-les à la cuillère, puis faites-les pocher 10 minutes dans le sirop frémissant. Préchauffez le four à 200 °C (th. 6-7).
4. Fouettez le reste de beurre avec le reste de sucre, les œufs, la poudre d’amandes et la Maïzena jusqu’à consistance crémeuse, puis incorporez la vanille et le rhum.
5. Avec une écumoire, transférez les pâtissons dans un plat à four. Garnissez-les de compote d’abricots, puis de crème aux amandes. Enfournez pour 15 minutes.
6. Filtrez le jus de cuisson des pâtissons. Mettez-en 10 cl dans le bol d’un mixeur avec le reste des abricots. Mixez très finement, puis allongez éventuellement le coulis obtenu avec un peu de jus de cuisson.
7. Répartissez le coulis sur 4 assiettes de service, puis déposez un pâtisson garni sur chacune d’elles. Servez tiède.

Conseil
Pour intensifier la saveur de ce dessert, faites réduire le jus de cuisson des pâtissons jusqu’à obtention d’une consistance sirupeuse, puis servez-le à part, en saucière : chacun en ajoutera à son gré sur son pâtisson.
Dans ce dessert, les pâtissons sont pochés aux épices avant d’être garnis d’une compote d’abricots dissimulée sous une crème d’amandes onctueuse…
Le pâtisson : blanc, orange ou vert, a une chair succulente, dont la saveur musquée évoque celle de l’artichaut.

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mardi 25 novembre 2025

Recettes Légumes anciens-Patates douces à la cannelle

 


Patates douces à la cannelle

Préparation : 20 mn
Cuisson : 10 mn
Pour 6 personnes
1 kg de patates douces
3 tranches de pain d’épice un peu rassis
1 cuillerée à soupe de cannelle en poudre + 6 bâtons de cannelle pour le décor
10 cl d’huile de tournesol
Pour le sirop
200 g de sucre en poudre
1 filet de jus de citron
1. Faites légèrement dorer les tranches de pain d’épice au grille-pain. Laissez-les refroidir, puis mixez-les en chapelure fine. Dans un grand plat creux, mélangez intimement cette chapelure avec la cannelle.
2. Épluchez et lavez les patates douces. Coupez-les dans la longueur en tranches régulières de 0,8 à 1 cm d’épaisseur. Passez-les dans la chapelure de pain d’épice à la cannelle en enrobant bien leurs deux faces.
3. Préparez le sirop : dans une casserole, mélangez le sucre avec 4 cuillerées à soupe d’eau. Portez à frémissements sur feu doux, sans remuer. Laissez frémir 5 minutes, puis ôtez du feu et ajoutez aussitôt le jus de citron.
4. Dans une grande poêle antiadhésive, faites chauffer la moitié de l’huile sur feu moyen. Faites-y dorer la moitié des tranches de patates douces 5 minutes, en les retournant à mi-cuisson. A l’aide d’une écumoire, disposez-les joliment sur les assiettes de service. Renouvelez cette opération avec le reste d’huile et de patates douces.
5. Nappez le contenu des assiettes avec le sirop et décorez d’un bâton de cannelle. Servez sans attendre.

Variante
Pour varier les plaisir, remplacez la cannelle par de la vanille ou, pour un dessert plus « musclé », par du gingembre et du carvi mélangés à part égales.
Patate douce : originaire d’Amérique du Sud, elle est cultivée en France depuis le XVIIIe siècle. Ce gros tubercule allongé, à la peau plus ou moins claire, possède une chair jaune-orangé, rose ou violette, délicatement sucrée.

lundi 24 novembre 2025

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Recettes Poitou-Charentes-Tourteau du Poitou




Tourteau du Poitou

Préparation : 40 mn
Repos : 1 h
Cuisson : 50 mn
Pour 6 personnes
250 g de farine
150 g de beurre
1 jaune d’œuf
250 g de fromage de chèvre frais
5 gros œufs entiers
150 g de sucre en poudre
2 cuillerées à soupe de lait
50 g de fécule de pomme de terre
1 pincée de sel
1. Préparez d’abord une pâte brisée avec la farine, 125 g de beurre, le jaune d’œuf, 1 pincée de sel et 1 ou 2 cuillerées à soupe d’eau. Ramassez la pâte en boule et enveloppez-la dans un film alimentaire pour la laisser reposer au frais pendant 1 heure au moins. Pendant ce temps, laissez le fromage de chèvre s’égoutter soigneusement.
2. Mettez le fromage de chèvre dans une terrine. Cassez les œufs entiers et séparez les blancs des jaunes. Battez le fromage blanc avec 125 g de sucre en poudre et 2 cuillerées à soupe de lait jusqu’à consistance homogène et onctueuse. Incorporez ensuite les jaunes d’œufs et la fécule en mélangeant intimement.
3. Par ailleurs, battez les blancs d’œufs en neige très ferme avec le reste de sucre en poudre. Incorporez-les ensuite délicatement à la préparation précédente. Vous pouvez parfumer le tout avec de l’essence de vanille, un peu de cognac ou d’eau de fleurs d’oranger. Beurrez un moule avec le reste de beurre, soit un moule spécial à tourteau, à fond arrondi, soit un moule à manqué rond.
3. Abaissez la pâte brisée et garnissez-en le moule. Versez la préparation au fromage frais dessus et lissez la surface de la pâte avec une spatule, très délicatement. Faites cuire dans le four à 180 °C (th. 6) pendant 50 minutes environ, jusqu’à ce que le dessus se soulève en forme de dôme et brunisse de manière homogène. Sortez le tourteau du four et laissez-le refroidir, puis démoulez-le.

Reconnaissable à sa forme de boule légèrement aplatie, à la surface lisse et noire, le tourteau fromagé est une spécialité de la Mothe-Saint-Héray, à base de fromage de chèvre frais. Il est devenu une production industrielle et celui que l’on confectionne soi-même n’a pas le même « fini ».

 

dimanche 23 novembre 2025

samedi 22 novembre 2025

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vendredi 21 novembre 2025

Recette Papillotes-Poire amandes et chocolat

 



Poire amandes et chocolat

Préparation : 15 mn
Cuisson : 15 mn
Pour 6 personnes 
6 poires williams ou conférence mûres à point
200 g de chocolat noir
3 cuillerées à soupe de crème fraîche
6 cuillerées à soupe de yaourt
1 citron vert
2 sachets de sucre vanillé
3 cuillerées à soupe d’amandes effilées
1. Préchauffez le four à 180 °C (th. 6). Pelez les poires, coupez-les en 4, ôtez le cœur et arrosez la chair de jus de citron vert.
2. Découpez 6 feuilles d’aluminium ou de papier sulfurisé. Déposez 1 cuillerée à soupe de yaourt au centre de chacune des 6 feuilles, puis répartissez-y les quartiers de poire. Saupoudrez les fruits de sucre vanillé.
3. Coupez le chocolat en petits morceaux, répartissez-le dans les papillotes, ajoutez ½ cuillerée à soupe de crème fraîche, puis parsemez le tout d’amandes effilées.
4. Fermez les papillotes et faites cuire au four 15 minutes.

Variantes :
Vous pouvez préparer de la même façon un grand nombre de fruits (pomme, banane, ananas, orange), seul ou en mélange.

Un harmonieux mélange de saveurs fruitées et épicées pour un dessert fondant ! A servir au goûter ou en dessert pour conclure un repas léger.



Recettes Papillotes-Papillotes de coings au miel


Papillotes de coings au miel

Préparation : 15 mn
Cuisson : 40 mn
Pour 4 personnes 
4 coings
90 g de beurre de beurre mou
3 cuillerées à soupe de miel
1 pincée de cannelle ou 1 sachet de sucre vanillé
1 citron
1. Retirez le cœur des coings. Préchauffez le four à 200 °C (th. 6-7).
2. Dans un saladier, mélangez le beurre avec le miel, la pincée de cannelle ou le sachet de sucre vanillé et le jus de citron. Emplissez de cette préparation les coings lavés et essuyés.
3. Coupez 4 carrés de papier sulfurisé. Emballez chaque coing dans un carré, en tordant joliment le papier pour enfermer le fruit.
4. Placez les papillotes sur une plaque et enfournez pour 40 minutes.
5. Laissez refroidir avant de servir.

Variantes :
Pour varier, vous pouvez remplacer le miel par du sucre roux ou du sirop d’érable, la cannelle par du gingembre ou de l’anis.

Le coing a un goût âpre et acidulé qui ne lui permet pas d’être consommé cru. Mais il se prête à de nombreuses et délicieuses préparations cuisinées, comme ici dans une cuisson en papillote.