dimanche 31 janvier 2016
samedi 30 janvier 2016
mercredi 27 janvier 2016
mardi 26 janvier 2016
Recettes Lyonnaises-Soufflé au chocolat
Préparation : 15 mn
Cuisson : 40 mn
Pour 6 personnes
6 œufs
40 g de beurre + 1 noisette pour le moule
100 g de chocolat noir
40 g de farine
120 g de sucre en poudre + 1 cuillerée à soupe pour le moule
1 pincée de sel
1. Préchauffez le four à 210 °C (th. 7).
2. Cassez le chocolat en morceaux et faites-le fondre au bain-marie avec 2 cuillerées à soupe d’eau.
3. D’autre part, faites fondre le beurre à feu doux dans une casserole. Jetez-y la farine et faites cuire celle-ci 2 minutes en remuant. Retirez du feu pour y verser le chocolat fondu.
4. Séparez les jaunes des blancs d’œufs. Mettez les jaunes dans le mixeur et battez-les avec le sucre jusqu’à l’obtention d’une masse crémeuse. Incorporez le mélange au chocolat.
5. Montez les blancs d’œufs en neige avec 1 pincée de sel. Incorporez-les délicatement à la préparation chocolatée.
6. Beurrez et sucrez un moule à soufflé de 15 cm de diamètre. Versez-y la préparation.
7. Enfournez pour 40 minutes. Servez aussitôt.
Vous pouvez accompagner ce soufflé d’une glace à la vanille et de gâteaux secs.
Infos nutrition
Par portion environ :
396 kcal
Protides : 10 g
Lipides : 20 g
Glucides : 44 g
dimanche 24 janvier 2016
Recettes Crêpes Blinis Pancakes-Pancakes aux myrtilles
Préparation : 15 mn
Repos de la pâte : 30 mn
Cuisson : 30 mn
Pour 12 pancakes
Pour la garniture
30 cl de crème anglaise
10 cl de coulis de fruits rouges
Pour la pâte
2 œufs
15 cl de lait
120 g de farine
1 cuillerée à café de levure
2 cuillerées à soupe de sucre
20 g de beurre fondu pour la cuisson
100 g de myrtilles fraîches
1 pincée de sel
Préparation des pancakes
1. Cassez les œufs et séparez les blancs des jaunes. Versez les jaunes d’œufs dans un bol puis fouettez-les avec le lait, la farine, le sel et la levure. Ajoutez le sucre et fouettez à nouveau pour obtenir une pâte homogène.
2. Dans un bol, montez les blancs en neige, puis ajoutez-les au mélange précédent. Laissez reposer 30 minutes.
3. Graissez une poêle à pancakes avec un peu de beurre et mettez-la à chauffer. Versez une petite louche de pâte, tournez la poêle pour bien répartir la pâte sur toute sa surface. Ajoutez alors quelques myrtilles fraîches sur le dessus du pancake. Quand la pâte est sèche sur le dessus (au bout de 2 minutes environ), retournez le pancake et laissez cuire 1 minute sur l’autre face.
Préparation de la garniture
4. Dans un bol, mélangez le coulis et la crème anglaise. Servez ces pancakes arrosés de votre crème anglaise rose !
Une variante
Remplacez la crème anglaise rose par de la crème Chantilly, puis ajoutez des framboises et des pistaches concassées.
Un truc
Vous pouvez utiliser des myrtilles surgelées si ce n’est pas la saison.
samedi 23 janvier 2016
vendredi 22 janvier 2016
jeudi 21 janvier 2016
mercredi 20 janvier 2016
dimanche 17 janvier 2016
samedi 16 janvier 2016
vendredi 15 janvier 2016
mercredi 13 janvier 2016
Infos santé-Prothèses mammaires et cancer
Prothèses mammaires et cancer
L’affaire des prothèses défectueuses de marque
PIP est en train d’entrer dans la catégorie très médiatique des ‘scandales
sanitaires’. Il semble donc utile de rappeler quelques éléments concernant la
survenue de cancers associés au port de prothèses mammaires.
Le premier point
concerne la survenue de cas de cancers chez les porteuses de prothèses.
On entend ça et là que
les pouvoirs publics refuseraient de reconnaître un lien entre ces cancers et
les prothèses défectueuses. Quitte à passer pour
un agent du pouvoir, j’abonde dans le sens de ces pouvoirs publics puisqu’à de
rarissimes exceptions le lien entre l’exposition à un produit et la survenue
d’un cancer est très difficile à prouver, voire quasi impossible.
Mais, en revanche, certaines expositions peuvent jouer un rôle favorisant dans le développement du cancer, qui est un événement multifactoriel.
Mais, en revanche, certaines expositions peuvent jouer un rôle favorisant dans le développement du cancer, qui est un événement multifactoriel.
Constater des cas de
cancer chez des femmes autour de la quarantaine n’est donc pas ‘anormal’,
fût-ce des adénocarcinomes, forme la plus fréquente des cancers du sein. Au
contraire de la reconstruction après mastectomie, la pose d’implants à visée
cosmétique se fait en laissant du tissu mammaire, tissu capable de donner lieu
au développement de tumeur.
Des localisations cancéreuses primitives hors du sein semblent également n’avoir aucun rapport avec la présence de la prothèse.
Des localisations cancéreuses primitives hors du sein semblent également n’avoir aucun rapport avec la présence de la prothèse.
Ce qui, en revanche,
est extrêmement peu fréquent et doit retenir l’attention c’est la survenue d’un
type très spécifique de tumeur : le lymphome anaplasique à grandes cellules
(LAGC, dénommé en anglais ALCL).
Un seul des huit cas
actuellement signalés correspond à ce type de tumeur.
Les lymphomes sont des
cancers qui touchent les cellules de défenses appelés lymphocytes ou leurs
précurseurs.
C’est le système lymphatique qui est concerné par l’accumulation des cellules tumorales, en particulier dans les ganglions lymphatiques, la rate, la moelle osseuse et le thymus.
C’est le système lymphatique qui est concerné par l’accumulation des cellules tumorales, en particulier dans les ganglions lymphatiques, la rate, la moelle osseuse et le thymus.
Le plus connu des
lymphomes est la maladie de Hodgkin. Les autres lymphomes sont dits ‘non
hodgkiniens’ ou LNH. Il en existe une vingtaine de formes environ. Ces LNH
représentent, environ 10500 cas par an en France.
Le lymphome anaplasique à grandes cellules est développé à partir des précurseurs des lymphocytes T. Il représente entre 0,5 et 2% des cas de lymphomes non hodgkiniens selon les divers registres.
Le lymphome anaplasique à grandes cellules est développé à partir des précurseurs des lymphocytes T. Il représente entre 0,5 et 2% des cas de lymphomes non hodgkiniens selon les divers registres.
La rareté extrême de
cette tumeur chez les porteuses de prothèses est illustrée dans une étude
néerlandaise publiée en 2008 dans le JAMA. Les auteurs de l’étude
ont repris tous les cas de lymphomes du sein chez des femmes entre 1990 et
2006. Ils ont trouvé 11 cas de LAGC en 17 ans. Cinq de ces femmes étaient
porteuses de prothèses mammaires bilatérales implantées dans un but cosmétique.
Leur analyse les a amené à conclure que le risque pour une femme porteuse de prothèse de développer ce lymphome particulier se situait entre 0,1 et 0,3 pour 100 000. L’hypothèse derrière la maladie serait une réaction immune indirecte face à un corps étranger, sans qu’il y ait besoin d’avoir fuite de liquide.
Leur analyse les a amené à conclure que le risque pour une femme porteuse de prothèse de développer ce lymphome particulier se situait entre 0,1 et 0,3 pour 100 000. L’hypothèse derrière la maladie serait une réaction immune indirecte face à un corps étranger, sans qu’il y ait besoin d’avoir fuite de liquide.
Ce serait la capsule
de la prothèse qui serait indirectement en cause. L’étude néerlandaise n’a pas
montré qu’une marque était spécialement en cause.
En janvier 2011 la
Food and Drug Administration, FDA, a publié une revue des cas connus. La littérature
internationale mentionne 34 cas de LAGC sur prothèses.
La FDA estime qu’au total, une soixantaine de cas est survenue dans le monde. Il faut mettre ce chiffre en rapport avec environ dix millions de femmes porteuses de prothèses. Ce qui est important à noter dans le document américain c’est que des cas ont été constatés aussi bien avec des prothèses remplies de solution saline qu’avec celles remplies de gel de silicone.
La FDA estime qu’au total, une soixantaine de cas est survenue dans le monde. Il faut mettre ce chiffre en rapport avec environ dix millions de femmes porteuses de prothèses. Ce qui est important à noter dans le document américain c’est que des cas ont été constatés aussi bien avec des prothèses remplies de solution saline qu’avec celles remplies de gel de silicone.
Cela tend à démontrer
une fois encore que ce n’est pas le contenu mais le contenant qui semble être
la source d’une réaction de l’organisme envers un corps étranger.
Il y a donc énormément
d’inconnues dans ce dossier et quelques indices. Le risque est rarissime, mais
il semble néanmoins que l’association entre prothèses mammaires et lymphome
anaplasique à grandes cellules soit une réalité.
Ce lymphome se
développe dans l’environnement immédiat de la prothèse. Il est constitué de
cellules de type T, alors que les lymphomes du sein sont de type B.
Enfin, rappelons le,
ces lymphomes se retrouvent avec les deux types de remplissage : solution
saline ou gel de silicone. Il semble constituer
une entité à part dans la famille des LAGC, avec des caractéristiques propres.
Les prothèses PIP
posent le problème d’une fraude industrielle sur un produit utilisé en santé
humaine mais qui est un dispositif médical, pas un médicament.
Cette nuance a des
implications en matière d’exigences de contrôle dans les processus de
fabrication et de suivi, moins stricts pour ces dispositifs, même si cela est
en train de changer au niveau européen.
Il est important que
la magnitude du risque soit connue. Ce risque, quelle que soit la marque, est
d’environ 3 à 5 cas pour un million.
Pour information,
chaque année, en France, trente mille femmes reçoivent des prothèses mammaires
pour des raisons esthétiques et beaucoup moins pour une reconstruction après
chirurgie pour cancer du sein.
Références
des études :
de Jong D,
Anaplastic large-cell lymphoma in women with breast implants.
JAMA.
2008 Nov 5;300(17):2030-5.
Anaplastic Large Cell Lymphoma (ALCL) In Women
with Breast Implants: Preliminary FDA Findings and Analyses
January 2011
Center for Devices and Radiological Health
U.S. Food and Drug Administration
Source blog santé de jd flaysakier docteurjd.com
dimanche 10 janvier 2016
samedi 9 janvier 2016
jeudi 7 janvier 2016
Infos santé : Sport et Santé-Skieurs, bain chaud et douche froide
Skieurs, bain chaud et douche
froide
Après une bonne journée de ski, vous imaginez
qu’un grand bain chaud vous ferait du bien… Vous avez raison ! Mais enchaînez
avec une douche froide !
Par le Docteur Stéphane CASCUA, médecine du sport
et entraînement du sportif.
Vous
déchaussez vos skis. C’est fini pour aujourd’hui. Finalement, il était temps
que ça se termine. Vous êtes fatigué. Vos cuisses sont lourdes. Vous avez
froid. Vos orteils et vos doigts sont frigorifiés. Un grand bain chaud vous
fera le plus grand bien ! Enchaînez avec une douche froide et ce sera parfait !
- Les bonnes raisons de s’y plonger !
Archimède
a découvert son principe dans son bain ! « Le corps plongé dans l’eau subit une
poussée de bas en haut, etc. ». Il est beaucoup plus léger. Lorsque la tête est
la seule partie émergée, il ne pèse que 10 % de son poids ! Vos muscles épuisés
se reposent ! Sans compter que, bien sûr, vous êtes allongé, une posture de
récupération ! Les jambes n’ont plus à le soutenir et le sang contenant les
déchets revient plus aisément vers le cœur. La chaleur de l’eau favorise aussi
le relâchement musculaire. En effet, l’une des missions des muscles est de
conserver la température corporelle grâce au maintien d’un état de contraction
de base appelé « tonus musculaire ». Dans un bain chaud, ils se relaxent
complètement. La chaleur provoque aussi l’ouverture des vaisseaux, de la peau
et des muscles. Le skieur grelotant se réchauffe. Ses extrémités frigorifiées
reçoivent à nouveau du sang. Les échanges entre le sang et les masses
musculaires augmentent et favorisent à la récupération. Mais soyons honnêtes,
une revue de la littérature scientifique ne semble pas mettre en évidence un
accroissement des performances à l’issue des protocoles d’immersion en eau
chaude. Cependant, après une journée dans le froid, le bain chaud recèle des
bienfaits spécifiques. Il provoque une élévation de la température corporelle.
De fait, il a été montré qu’un bain chaud de 20 minutes provoquait un
passage de globules blancs dans le sang. Ce serait l’une des missions
bénéfiques de la fièvre ! Votre organisme se défend mieux contre les microbes…
De surcroît, la sensation de bien-être subjectif reste incontestable.
L’expérience médicale montre qu’il s’agit d’un vrai facteur de récupération. En
pratique, au retour du ski, prenez un grand bain chaud vous enveloppant
jusqu’aux épaules. Optez pour une température de 37 à 40°C selon votre
tolérance. Laisser couler un peu l’eau chaude car celle du bain se refroidit
insidieusement au contact de l’air ambiant… et en réchauffant votre corps ! La
durée conseillée est de l’ordre de 20 minutes.
- Optimiser : quelques astuces !
Si
possible, optez pour un jacuzzi. Il procure un effet massant bien agréable. Les
bulles d’air propulsées depuis le fond de la baignoire réduisent encore le
poids du corps. Pédalez dans l’eau ! Vous associez cette fois les bienfaits
d’une récupération active. Cette dernière est connue pour être la plus
efficace. La poursuite d’une activité modérée stimule les échanges et le
drainage. Les contractions modérées guident la cicatrisation des micro-lésions
musculaires. Effectuez également quelques étirements. Contentez-vous de
postures douces, source de relâchement musculaire. Ne cherchez pas à vous
assouplir, vous aggraveriez vos courbatures. Penchez-vous en avant, rapprochez
les mains des pieds. Pour étirer vos cuisses, allongez-vous sur le ventre,
faites le sphinx, attrapez une cheville puis une autre. En l’absence de douleur
de genou, vous pouvez aussi vous mettre accroupi. Ajoutez une huile de bain à
la lavande, elle cumule les avantages. Elle est reconnue comme favorisant la
décontraction musculaire et la lutte contre les infections. Les molécules
antiseptiques et la vapeur d’eau gagnent votre nez, votre gorge, vos sinus et
vos poumons. En plus de la désinfection par inhalation, l’humidité et la
chaleur favorisent le retour du sang riche en globules blancs ! Vous devriez
éviter le rhume !
- Finissez par une douche froide
Si vous
souhaitez adhérer plus rigoureusement aux résultats de la recherche
scientifique, il vous faudra terminer par une douche froide. VAILE a montré que
la technique par contraste de température permettait de réduire la sensation de
douleur musculaire et de diminuer le gonflement des cuisses. WILCOCK et KING
ont mis en évidence une diminution de l’acide lactique, le célèbre déchet
provenant des contractions musculaires intenses. Cette efficacité serait due au
phénomène de « vaso-pumping ». Le chaud ouvre les vaisseaux et le froid les
ferme. Il en résulte un effet de pompage qui contribue plus efficacement au
drainage des muscles fatigués. De surcroît, il est démontré que l’élévation
excessive de la température corporelle perturbe le sommeil et l’endormissement.
Encore une bonne raison de terminer par une douche fraîche. En pratique, vous
pouvez opter pour la méthode douce. Alors que vous êtes dans votre bain chaud,
levez la jambe gauche. Réalisez un massage avec la douchette. Mettez un maximum
de pression d’eau froide. Partez de la cheville et allez vers la hanche. Faites
plusieurs rotations. Replongez votre jambe gauche et passez à la droite.
Renouvelez plusieurs fois. Lorsque le bain est devenu frais, sortez. Les plus
courageux peuvent terminer par une douche froide !
Source SantéSportMag
mercredi 6 janvier 2016
mardi 5 janvier 2016
dimanche 3 janvier 2016
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