jeudi 30 septembre 2021

Recettes Desserts-Tarte meringuée au citron

 

Tarte meringuée au citron

Préparation : 35 mn
Repos de la pâte : 30 mn
Cuisson : 40 mn
Pour 6 personnes
Pour la pâte sablée :
1 gousse de vanille
50 g de sucre en poudre
125 g de farine
50 g de beurre mou
1 œuf entier
Pour la crème :
3 citrons jaunes
50 g de beurre
1 cuillerée à soupe de fécule de maïs
4 œufs
200 g de sucre en poudre
Pour la meringue :
4 blancs d’œufs
100 g de sucre glace
1. Préparez la pâte sablée : ouvrez la gousse de vanille en deux et grattez les graines. Mélangez dans un bol les graines de vanille et le sucre. Tamisez la farine directement au-dessus du plan de travail. Coupez le beurre en petits morceaux et travaillez-le du bout des doigts avec la farine jusqu’à ce que la préparation soit sableuse et qu’il ne reste plus de morceaux de beurre. Creusez un puits dans le sablage obtenu. Cassez-y l’œuf et versez le sucre parfumé à la vanille. Mélangez du bout des doigts tous les ingrédients, mais sans trop les malaxer. Ecrasez la pâte pour la rendre bien homogène puis roulez-la en boule, enveloppez-la dans un film alimentaire et laissez-la reposer au moins trente minutes.
2. Garnissez de pâte un moule à tarte, préalablement recouvert de papier sulfurisé.
3. Préparez la crème : rincez les citrons et prélevez-en finement le zeste. Pressez le jus des fruits. Faites fondre doucement le beurre dans une petite casserole. Délayez la fécule de maïs dans 1 cuillerée à soupe d’eau. Cassez les œufs dans un saladier, ajoutez le sucre et fouettez énergiquement jusqu’à ce que le mélange blanchisse. Incorporez la fécule, le beurre, le jus et le zeste des citrons et mélangez.
4. Préchauffez le four à 200 °C (th. 6-7).
5. Versez la crème aux citrons sur le fond de pâte. Mettez au four et faites cuire pendant 35 à 40 minutes, jusqu’à ce que les bords de la pâte soient dorés et que la crème soit figée. Sortez la tarte du four et laissez-la refroidir
6. Préparez la meringue : montez les blancs d’œufs en neige ferme puis incorporez le sucre glace au dernier moment, en soulevant délicatement les blancs pour ne pas les briser.
7. Allumez le gril du four.
8. Etalez la meringue sur la tarte froide en lissant la surface avec une spatule, puis dessinez un décor avec les dents d’une fourchette. Glissez la tarte 2 ou 3 minutes sous le gril, jusqu’à ce qu’elle prenne une belle coloration.
9. Sortez la tarte du four, démoulez-la aussitôt et posez-la sur une grille pour la laisser refroidir. Servez froid.

Recettes Desserts-Gâteau de Savoie aux amandes


Gâteau de Savoie aux amandes

Préparation : 30 mn
Cuisson : 45 mn
Pour 6 personnes
6 œufs
100 g de sucre en poudre
30 g de farine
30 g de fécule de pomme de terre
30 g de poudre d’amande
150 g d’amandes effilées
1 sachet de sucre vanillé
1 sachet de levure chimique
1 pincée de sel
Sucre glace
Miel
1. Préchauffez le four à 180 °C (th. 6). Beurrez un moule à manqué rond de 30 cm.
2. Séparez les jaunes des blancs d'œuf. Battez les jaunes avec le sucre en poudre et le sucre vanillé jusqu'à ce que le mélange devienne mousseux et double de volume.
3. Mélangez la farine, la fécule de pomme de terre, la levure chimique et la poudre d'amandes. Ajoutez ce mélange farineux dans les jaunes d'œufs tout en continuant à tourner.
4. Battez les blancs en neige avec une pincée de sel. Incorporez un quart des blancs et fouettant vivement. Incorporez le reste en douceur.
5. Saupoudrez le moule à manqué avec du sucre glace et versez la pâte. Enfournez pendant 45 minutes.
6. Démoulez et laissez refroidir sur une grille. Vous pouvez fourrer votre gâteau de Savoie aux amandes avec la préparation de votre choix : de la confiture, de la crème chantilly ou de la crème au beurre, etc. Il suffit de le couper horizontalement.
7. Refermez le gâteau et badigeonnez les côtés de miel avec un pinceau. Faites griller des amandes sur une poêle antiadhésive, sans matière grasse. Collez des amandes sur les côtés, saupoudrez le dessus du gâteau de sucre glace et d'amandes.


Recettes Desserts-Pamplemousses rôtis au romarin


Pamplemousses rôtis au romarin

Préparation : 5 mn
Cuisson : 5 à 8 mn
Pour 4 personnes
2 pamplemousses roses
50 g de beurre
4 cuillerées à soupe de cassonade
2 cuillerées à soupe de romarin effeuillé
1. Allumez le gril du four.
2. Lavez et essuyez les pamplemousses, coupez-les en deux, déposez-les dans un plat à four.
3. Mélangez le beurre ramolli, la cassonade et le romarin, tartinez les demi-pamplemousses avec ce mélange.
4. Passez les pamplemousses sous le gril pendant 5 à 8 minutes. Servez tiède avec des tuiles aux amandes.

Ce dessert acidulé est idéal après un repas copieux.

Variante
C’est aussi bon avec du thym à la place du romarin, ou avec des oranges et de la cannelle.

Recettes Desserts-Terrine miel et agrumes

 


Terrine miel et agrumes

Préparation : 30 mn
Repos : 12 heures
Cuisson : 4 mn
Pour 6 personnes
6 mandarines
1 pamplemousse
5 oranges
1 citron
25 cl de vin blanc moelleux
50 g de sucre en poudre
80 g de miel liquide
6 feuilles de gélatine
2 brins de menthe
Poivre
1. Râpez le zeste de 3 mandarines. Pressez-les toutes. Epluchez les autres agrumes à vif. Coupez-les en morceaux, récupérez le jus. Ajoutez-le, avec les zestes, au jus des mandarines (20 cl). Poivrez.
2. Faites bouillir le vin 4 minutes. Hors du feu, ajoutez le sucre, le miel, le jus d’agrumes, puis la gélatine ramollie à l’eau froide et égouttée. Chauffez pour la faire fondre.
3. Versez dans un moule à cake sur 1 cm. Réfrigérez 15 minutes. Ajoutez les morceaux d’agrumes. Coulez le reste de gelée.
4. Placez 12 heures au frais. Servez parsemé de menthe.

Recettes Desserts-Tarte au sucre à l’ancienne


Tarte au sucre à l’ancienne

Préparation : 10 min
Cuisson : 20 min
Pour 6 personnes
Pour la pâte
10 cl de lait
1 sachet de levure chimique
1 cuillerée à soupe de sucre
1 pincée de sel 1 œuf
250 g de farine
125 g de beurre fondu+ 10 g pour le moule
Pour la garniture
1 cuillerée à soupe de sucre
1 pincée de cannelle
100 g de vergeoise blonde
1 œuf
1. Préchauffez le four à 210 °C (th. 7).
2. Beurrez un moule à tarte de 26 cm de diamètre.
3. Mettez le lait dans une terrine, ajoutez la levure pour la dissoudre, le sucre, le sel, l'œuf entier et enfin la farine, puis pétrissez la pâte en ajoutant le beurre fondu et formez une boule.
4. Étalez la pâte au rouleau, mettez-la dans le moule beurré.
5. Battez l'œuf restant avec la cuillerée de sucre et la cannelle, étalez le mélange sur le dessus de la tarte et saupoudrez de sucre. Cuisez 20 mm. Servez tiède.

Dessins de presse

 

Dessins de presse

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Dessins de presse

Dessins de presse

 

Dessins de presse

Dessins de presse



 Dessins de presse

Dessins de presse

 

Dessins de presse

mercredi 29 septembre 2021

Recettes anti-cholestérol-Riz aux lentilles vertes


Riz aux lentilles vertes

Préparation : 10 mn
Cuisson : 50 mn
Pour 4 personnes
300 g de riz mi-complet
125 g de lentilles vertes
2 carottes
2 côtes de céleri
1 oignon
12 olives noires
2 cuillerées à soupe de jus de citron
1 cuillerée à soupe d’huile d’olive
Sel et poivre
1. Grattez les carottes et coupez-les en dés. Lavez le céleri et coupez-le en lamelles. Pelez l’oignon et hachez-le.
2. Faites chauffer 1 litre d’eau, salez-la.
3. Mettez l’huile à chauffer dans une sauteuse et faites-y revenir l’oignon, le céleri et les carottes. Ajoutez le riz, mélangez jusqu’à ce qu’il devienne transparent, puis versez les lentilles et l’eau chaude. Couvrez et laissez cuire à feu doux environ 45 minutes, jusqu’à ce que toute l’eau soit absorbée et que le riz et les lentilles soient tendres.
4. Ajoutez les olives, poivrez, arrosez de jus de citron, mélangez et laissez chauffer quelques minutes.
5. Versez les légumes dans un plat et servez.

Le mélange de riz et de légumineuses (ici, des lentilles) est très intéressant sur le plan nutritionnel. De plus, ces légumes n’apportent pas de cholestérol. Ajoutez simplement un fruit ou une compote à ce plat complet.

Par portion
502 kcal – 2 098 kj
Protides : 14 g
Lipides : 14 g
Glucides : 80 g
Acides gras saturés : 1 g
Cholestérol : 0 g

Recettes anti-cholestérol-Fenouil aux oignons

 


Fenouil aux oignons

Préparation : 10 mn
Cuisson : 35 mn
Pour 4 personnes
4 petits bulbes de fenouil
2 cuillerées à soupe de vinaigre de vin
2 oignons
2 gousses d’ail
Sel et poivre
1. Ôtez les tiges dures et la base du fenouil. Lavez-le, mettez de côté les petites feuilles vertes et coupez les bulbes verticalement en lamelles de 5 mm d’épaisseur environ.
2. Pelez les oignons et hachez-les finement. Pelez l’ail et passez-le au presse-ail.
3. Mettez le fenouil, les oignons et l’ail dans une sauteuse à revêtement antiadhésif, ajoutez 20 cl d’eau et de vinaigre, salez et poivrez. Couvrez, portez à ébullition, puis réduisez le feu et laissez cuire 30 minutes.
4. Ajoutez quelques cuillerées à soupe d’eau chaude dès qu’il n’y a plus du tout de liquide pour éviter que les légumes n’attachent.
5. Lorsque les légumes sont tendres, enlevez le couvercle et laissez blondir le contenu de la sauteuse, tout en remuant avec une spatule en bois : les légumes doivent prendre couleur sans attacher ; surveillez-les attentivement.
6. Mettez les légumes sur un plat, hachez les petites feuilles vertes de fenouil et parsemez-en le plat. Servez chaud.

L’ail fluidifie le sang et réduit la tension artérielle ainsi que le taux de cholestérol.

Le fenouil est un légume dont toutes les parties, racines, feuilles et graines, sont comestibles. Son goût est proche de celui de l'anis et souvent associé au poisson. On peut le consommer cru (en salade) ou cuit.

Par portion
32 kcal – 134 kj
Protides : 2.6 g
Lipides : 0.25 g
Glucides : 5 g
Acides gras saturés : 0 g
Cholestérol : 0 g

Recettes anti-cholestérol-Pâtes à la grecque


Pâtes à la grecque

Préparation : 15 mn
Cuisson : 50 mn
Pour 4 personnes
300 g de petites pâtes dites « grains de riz »
1 kg de tomates
2 gousses d’ail
2 oignons
1 branche de céleri
1 feuille de laurier
2 branches de thym
2 cuillerées à soupe d’huile d’olive
3 pincées de cannelle
Sel et poivre
1. Ebouillantez les tomates, pelez-les et coupez-les en morceaux. Pelez l’ail et hachez-le. Epluchez-les oignons et hachez-les finement.
2. Mettez une cuillerée à soupe d’huile à chauffer dans une casserole à fond épais et faites-y blondir les oignons. Ajoutez les tomates, l’ail, le céleri, le laurier et le thym, salez, sucrez, puis poudrez de cannelle et versez 75 cl d’eau. Couvrez et laissez cuire 30 minutes à feu doux.
3. Après 30 minutes de cuisson, retirez le céleri, le laurier et le thym. Jetez les pâtes dans la sauce tomate et laissez cuire environ 20 minutes.
4. Arrosez avec le reste de l’huile et servez bien chaud.

Les pâtes, lorsqu’elles ne sont pas aux œufs, sont conseillées dans le régime anti-cholestérol. Les proportions données ici sont pour un plat complet. Pour un accompagnement, divisez les quantités par deux.

Par portion
478 kcal – 1998 kj
Protides : 13 g
Lipides : 18 g
Glucides : 66 g
Acides gras saturés : 2 g
Cholestérol : 0 g

Recettes Anti-cholestérol-Soupe au potiron

 


Soupe au potiron

Préparation :
 10 mn
Cuisson : 
35 mn

Pour 4 personnes
1 kg de potiron
200 g de céleri-rave
1 poignée de lentilles orange
1 oignon
2 gousses d’ail
Sel

1. Retirez les graines, les filaments et la peau du potiron, coupez la pulpe en cubes.
2. Pelez le cèleri-rave et coupez-le en morceaux.
3. Épluchez l’oignon et coupez-le en quatre.
4. Pelez les gousses d’ail et retirez le germe qui se trouve au centre.
5. Faites bouillir 70 cl d’eau mettez-y le potiron, le cèleri  l’oignon et l’ail. Salez et faites reprendre l’ébullition.
6. Quand l’eau bout de nouveau, ajoutez les lentilles, couvrez et laissez cuire 30 minutes.
7. Lorsque les légumes sont tendres, mixez la soupe, puis servez.


Le potiron est un légume riche en provitamine A (bêtacarotène) et en fibres douces, bien tolérées.

Les potirons se récoltent à complète maturité et se consomment cuits. Très légers en calories et concentrés en micronutriments, on peut les préparer de très nombreuses manières comme légume ou comme dessert : en soupe, en purée, en gratin, en tarte, en tourte, en confiture...., voire en glace.


Riche naturellement en β-carotène, sa densité nutritionnelle élevée en fait un légume à consommer régulièrement dans le cadre de la prévention des cancers ou des maladies cardio-vasculaires. La consommation de 150 grammes permet de couvrir la totalité des besoins quotidiens en provitamine.


Par portion
117 kcal – 489 kj
Protides : 8 g
Lipides : 0.6 g
Glucides : 20 g
Acides gras saturés : 0.1 g
Cholestérol : 0 g



Recettes Anti-cholestérol-Endives braisées au pamplemousse

 


Endives braisées au pamplemousse


Préparation : 15 mn
Cuisson : 40 mn
Pour 4 personnes
800 g d’endives
2 pamplemousses roses
½ cuillerée à café de curry
1cuillerée à café de sucre
Sel et poivre

1. Coupez 1 pamplemousse en deux et pressez-le. Coupez les endives en deux parallèlement à la longueur et recoupez-les en morceaux de 3 cm d’épaisseur.
2. Mettez les endives dans une sauteuse à revêtement antiadhésif et poudrez-les de curry et de sucre. Salez, poivrez, arrosez-les avec le jus de pamplemousse et mélangez. Couvrez et laissez cuire à feu très doux 40 minutes.
3. Mélangez de temps en temps en veillant à ce que les légumes n’attachent pas.
Pendant ce temps, pelez le second pamplemousse à vif, et recueillir le jus. Détachez la pulpe en ôtant toutes les membranes.
4. Lorsque les endives sont tendres et on pris une teinte dorée, ajoutez la pulpe de pamplemousse et le jus recueilli. Mélangez délicatement et laissez chauffer 1 minute.
5. Versez dans un plat et servez chaud.


Parfaitement diététique, ce plat ne vous apportera ni cholestérol, ni acides gras saturés.

Pratiquement aucun épluchage et rien à retirer : ce sont les qualités bien appréciables de l’endive. Coupez-la simplement dans le sens de la hauteur et passez chaque moitié rapidement sous un jet d’eau froide. Ne laissez pas les feuilles dans l’eau, elles perdent ainsi minéraux et vitamines.


Ce légume se prête à de multiples variations culinaires, dans des salades composées avec mâche, frisée, cerneaux de noix, dés de pomme, de nèfle, betterave etc., cuit à la vapeur ou à l’étouffée, pour accompagner plats de viande ou de poisson, ou enrobées d’une tranche de jambon.


Par portion
78 kcal – 326 kj
Protides : 3 g
Lipides : 0.25 g
Glucides : 16 g
Acides gras saturés : 0 g
Cholestérol : 0 g



Recettes Anti-cholestérol-Soupe aux carottes et au céleri-rave


Soupe aux carottes et au céleri-rave


Préparation : 15 mn
Cuisson : 35 mn 

Pour 4 personnes 
600 g de carottes
400 g de céleri-rave
1cuillerée à café de sucre
Sel et poivre

1. Versez 1 litre d’eau dans une casserole. Salez et portez à ébullition.
2. Pendant ce temps, grattez les carottes, coupez-les en quatre et recoupez-les en morceaux. Jetez-les dans l’eau bouillante.
3. Pelez le céleri et coupez-le en tranches de 1 cm d’épaisseur. Ajoutez-les aux carottes. Couvrez et laissez cuire 30 minutes à partir de la reprise de l’ébullition, jusqu’à ce que les carottes soient juste cuites.
4. Mixez le contenu de la casserole. Ajoutez le sucre et du poivre, puis mélangez.
Versez dans les bols et servez chaud.


Cette soupe riche en bêtacarotène et parfaitement diététique est recommandée pour les régimes anti-cholestérol.


L'apport énergétique de la carotte crue est de 31 kilocalories par 100 g. Contient 90 % d'eau, 1 % de protéines, 0,2 % de lipides et jusqu'à 4,5 % de sucre. Les carottes sont riches en Bétacarotène (provitamine A). Avec 25 g on couvre plus de la moitié du besoin quotidien de vitamine A). La teneur moyenne en vitamine C est de 7 mg par 100 g. Elle contient aussi de la vitamine B1 et B2.


Les minéraux apportés sont principalement du calcium, magnésium, potassium et fer. La teneur en fibres alimentaires est importante. Celles-ci sont composées en majorité de pectine et de cellulose.


Par portion
112 kcal – 468 kj
Protides : 3.8 g
Lipides : 0.6 g
Glucides : 23 g
Acides gras saturés : 0 g
Cholestérol : 0 g



mardi 28 septembre 2021

Dessins de presse

 

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lundi 27 septembre 2021

Dessins de presse

 

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samedi 25 septembre 2021

Infos santé-Narcolepsie et hypersomnie

 


Narcolepsie et hypersomnie

  • Qu'est-ce que la narcolepsie ?
La narcolepsie (ou maladie de Gélineau) est un trouble du sommeil rare qui se caractérise par des accès d’assoupissement survenant brutalement au cours de la journée, éventuellement accompagnés d’attaques de cataplexie (une perte brusque du tonus musculaire). La narcolepsie apparaît plutôt à l'adolescence ou vers la quarantaine. Les hommes sont légèrement plus touchés que les femmes.

La narcolepsie peut interférer avec la vie professionnelle, voire empêcher la personne atteinte d'exercer son métier. L'isolement social et la perte d'autonomie peuvent être à l'origine de dépression. La narcolepsie contre-indique également la conduite de véhicules ou l'utilisation de machines-outils ou d'engins.

  • Quels sont les symptômes de la narcolepsie ?
La narcolepsie se caractérise par quatre types de symptômes, dont trois ne sont pas systématiquement présents chez tous les patients.

L’hypersomnolence diurne est l’existence d’envies irrépressibles de dormir tout au long de la journée, dans diverses sortes de circonstances dont certaines dangereuses en cas d’assoupissement : en attendant un bus, dans la file d’attente d’un cinéma, au travail, en conduisant, en faisant le ménage, etc. Parfois, cette somnolence excessive se traduit par des comportements dits automatiques : phrases ou gestes répétés sans en avoir conscience, conduite de son véhicule vers un lieu imprévu, etc. Ces petits sommes durent entre une minute et une demi-heure, parfois plus longtemps. D’autres symptômes peuvent accompagner la somnolence : troubles de l’attention et de la concentration, troubles de la mémoire, réveils nocturnes répétés, etc.

Les crises de cataplexie sont la perte soudaine du tonus musculaire sans que la personne perde connaissance. En pratique, une crise de cataplexie peut toucher de nombreux muscles (et entraîner la chute de la personne « comme une poupée de chiffons ») ou rester localisée à certains muscles.

Les hallucinations de quelques secondes, au réveil (hallucinations hypnopompiques) ou en s’endormant (hallucinations hypnagogiques). Ces hallucinations peuvent être visuelles, auditives ou sensorielles.

Les paralysies du sommeil ne s’observent que chez certains patients narcoleptiques. Comme les hallucinations qu’elles peuvent accompagner, elles surviennent au réveil ou pendant la phase d’endormissement. La personne reste consciente mais connaît la sensation d’être paralysée, comme lors d’une crise de cataplexie.

  • Narcolepsie ou hypersomnie ?
La narcolepsie doit être distinguée de l’hypersomnie, un autre trouble du sommeil caractérisé par une hypersomnolence tout au long de la journée. L’hypersomnie peut être liée à une lésion cérébrale (hypersomnie secondaire) ou se manifester sans cause identifiable (hypersomnie idiopathique). Les personnes qui souffrent d’hypersomnie ne présentent jamais de crises de cataplexie.

  • Quelles sont les causes de la narcolepsie ?
Les causes de la narcolepsie sont mal connues. Néanmoins, il semble que la prédisposition à cette maladie soit d’origine génétique. Au-delà de cette prédisposition génétique, le déclenchement de la narcolepsie semble plutôt lié à d’autres causes : stress émotionnel, traumatisme crânien, épisode de très forte fièvre, grossesse, dépression, deuil, émotion très intense de tout type, etc.

  • Comment savoir si l'on est narcoleptique ?
Le diagnostic repose sur les signes cliniques (hypersomnolence et au moins une crise de cataplexie) et sur l’enregistrement des ondes électriques du cerveau pendant l’endormissement, le sommeil et le réveil (polysomnographie) la nuit, mais également le jour lors des épisodes d’hypersomnolence. Parfois, une prise de sang est faite pour rechercher les marqueurs génétiques de la prédisposition à la narcolepsie.

  • Comment soigne-t-on la narcolepsie ?
Les traitements de la narcolepsie visent à soulager les symptômes et à restaurer la qualité de vie. Il n’existe pas aujourd’hui de traitement visant à corriger les causes de cette maladie.

Différents médicaments psychostimulants sont utilisés chez l’adulte pour traiter la narcolepsie. Ils sont prescrits lorsque la vie du patient est perturbée par des épisodes de sommeil irrépressible.

L’usage de ces médicaments est très réglementé et la première prescription doit se faire obligatoirement en milieu hospitalier. La dose efficace est établie progressivement en fonction des réactions de chaque patient. Les psychostimulants peuvent parfois provoquer des symptômes d’anxiété. Il faut être extrêmement vigilant sur les risques d’interactions avec d’autres médicaments (en particulier les neuroleptiques et les pilules contraceptives). La prise de ces médicaments doit être impérativement signalée à son pharmacien et à tout nouveau médecin consulté.

Faire de petites siestes à des heures régulières est recommandé en cas de narcolepsie. Ces sommes programmés permettent le plus souvent d’éviter la somnolence et les endormissements intempestifs. Néanmoins, ces siestes ne devraient pas durer plus de vingt minutes.


Source : Vidal

Infos santé-La fin de grossesse


La fin de grossesse

Concrètement, en dehors du ventre qui grossit, quels sont les changements que l’on observe au cours des deuxième et troisième trimestres de la grossesse ? Commençons par les moins agréables : avec l’apparition d’une bosse proéminente sur le profil, il devient difficile de se mouvoir. Vider le lave-vaisselle ? Vous pouvez oublier. Refaire votre lacet ? Soudoyez la première personne qui croise votre chemin. Attraper ce fameux paquet de biscottes en haut du placard qui vous fait tant envie ? Rabattez-vous sur autre chose de moins haut pour calmer votre faim dévorante. En effet, se baisser devient mission impossible, car Junior prend toute la place. D’autant que la modification de votre centre de gravité vous fait courir le risque non négligeable de finir la tête la première sur le carrelage !

La fin de la grossesse est aussi généralement l’occasion pour vous d’enfiler un charmant costume de zèbre. Pour ma part, mes rayures (couramment appelées vergetures par l’ensemble du corps médical) ont commencé à apparaître sur mes cuisses et sur le bas de mon ventre. Pour les éviter, il n’y a aucun remède miracle, mis à part bien hydrater la peau qui subit beaucoup de transformations lors de la grossesse (et même après). J’ai utilisé de l’huile d’amande douce et de la crème hydratante sur les zones à risques (cuisses, ventre, seins, poignées d’amour, etc.) pour limiter les dégâts.
Passons maintenant aux choses plus agréables : Junior a bien grandi dans son petit nid douillet et la fin de grossesse permet de mieux le sentir bouger. Coups de pieds, coups de fesses ou coups de tête, petite main qui dépasse sur le côté du ventre, tout est prétexte à émerveillement. Certains bébés bougent plus que d’autres et il est facile de deviner où sont la tête, les mains ou les pieds. En ce qui me concerne, Junior est très calme et ne bouge pas beaucoup. J’arrive à deviner avec quelles parties de son corps il joue dans mon utérus par rapport aux différentes échographies que j’ai passées. Et mon bébé aime particulièrement mettre ses pieds sous mes côtes ! Il est difficile de décrire ce que l’on ressent à chaque fois qu’on sent notre petit haricot bouger, même quand il nous fait mal. Il s’agit d’un mélange de joie, d’émerveillement et d’envie de partager ce bonheur intense avec le papa : ce sont les premiers moments à trois.


  • Les cours de préparation à l’accouchement
Évidemment, outre la grossesse en elle-même, beaucoup de futures mamans redoutent l’accouchement. Entre les scènes de film où l’on voit les futures mamans se précipiter à la maternité dès la poche des eaux rompue, hurlant de douleur pendant 10 secondes pour mettre au monde leur enfant et les mots qui font peur (césarienne, épisiotomie*, suture, décollement placentaire), la naissance de Junior est un moment qui engendre une certaine appréhension. C’est pourquoi il existe des cours de préparation à l’accouchement, afin d’aider les futures mamans à mieux comprendre ce qu’il va se passer le jour J et surtout à mieux le gérer. Plusieurs types de cours sont proposés : des plus classiques dispensés généralement à la maternité, aux plus calmes tels que les cours en piscine, le yoga ou l’haptonomie*. Ayant choisi les cours classiques, je ne pourrais vous faire part ici des spécificités des autres types de préparation.


Avec un peu d’appréhension, j’ai commencé la première des sept séances. Je ressentais un peu la même chose qu’une souris en cage guettée par un gros matou : je ne savais pas à quelle sauce j’allais être mangée. Au final, je me suis retrouvée avec d’autres futures mamans, qui avaient à peu près la même DPA que la mienne (DPA = Date Prévue d’Accouchement), mais surtout les mêmes interrogations et les mêmes craintes. Animés par une sage-femme qui a su nous mettre à l’aise dès le début, ces cours ont été d’une grande aide pour moi. La première séance a été relativement libre : il a plutôt été question d’échanger sur nos ressentis de futures mamans, quels étaient les symptômes que nous ressentions, nos appréhensions par rapport à la fin de la grossesse et l’arrivée de Junior. Les séances qui ont suivi furent consacrées à des thèmes comme “soulager les tensions du dos”, “préparer la venue à la maternité” (que mettre dans la valise, à quel moment faut-il aller à la maternité, quels sont les symptômes indiquant une urgence ou un mal-être de Junior), “l’accouchement” (quelles sont les positions possibles pour accoucher, quel projet de naissance adopter – césarienne, accouchement en siège, accouchement par voie basse – le rôle du papa, la salle de travail), “les suites de couche” (quels sont les changements de notre corps suite à l’accouchement, comment s’occuper de Junior, comment réussir à le comprendre), “l’allaitement maternel” ou des sujets plus intimes comme la contraception.

Le départ vers la maternité étant généralement fait dans l’urgence, mieux vaut avoir pris ses dispositions avant et avoir préparé les affaires dont Junior et nous aurons besoin sur place. Sachez qu’en moyenne, pour un accouchement naturel et un bébé en bonne santé, trois jours sont passés à la maternité, contre cinq si une césarienne a été nécessaire. J’ai donc préparé ma valise avec le papa : il se trouve que ça s’est révélé être une étape importante dans la préparation de la naissance de Junior. En effet, si les affaires de la future maman se limitent à un ou deux pyjamas ouverts sur le devant pour l’allaitement et des protections du genre slips jetables et serviettes hygiéniques ultra absorbantes à cause des pertes de sang consécutives à l’accouchement, les affaires de bébé sont un peu plus nombreuses : c’est l’occasion d’acheter les premiers bodys et les premiers pyjamas de Junior ! S’il est difficile de prévoir la taille (0/0 pour un prématuré, naissance ou 1 mois), faire les magasins permet de rendre l’arrivée de Junior beaucoup plus concrète. On commence à l’imaginer dans ses pyjamas, à choisir ses bodys, ses chaussettes, ses bonnets ainsi que la tenue dans laquelle on a envie qu’il quitte la maternité. Il faut aussi acheter les premiers équipements, comme le thermomètre pour vérifier la température de son bain ou un biberon si l’allaitement n’est pas envisageable. Il faut aussi penser à l’équipement pour la sortie de la maternité : un petit cosy qui servira à transporter Junior et qui fait office également de siège auto. Petit conseil : songez à bien étudier le fonctionnement du cosy avant la sortie de l’hôpital. Cela vous rassurera pour le jour J !


  • L’arrivée de Junior : entre bonheur et appréhension
Si vous croyez qu’à la fin des cours, vous vous sentirez prête, c’est que vous vivez dans le monde des Bisounours. Pour ma part, si je me suis parfaitement faite à l’idée de l’accouchement et, contrairement à une importante majorité de futures mamans, cela ne m’angoisse pas tellement. Je pense que cela est lié à mon histoire personnelle, au fait que j’ai eu tellement peur de perdre Junior durant mes 5 premiers mois de grossesse que la seule chose qui m’importe, c’est qu’il soit en bonne santé. La césarienne ? Les cours m’ont aidée à vaincre mon angoisse. L’épisiotomie ? Même pas peur ! La douleur ? La péridurale* est ma nouvelle meilleure amie ! Rappelez-moi ces belles paroles quand je serai en salle de travail. En réalité, j’ai revu mes priorités et tout ce qui m’importe, c’est que Junior sorte et soit en bonne santé. Néanmoins, cela ne m’empêchera sûrement pas d’être complètement paniquée le jour J. Le papa et moi avons beau être très bien préparés, nous ne savons jamais comment nous allons réagir lorsque nous nous retrouvons confrontés à des situations de stress.

Si l’accouchement en lui-même ne m’effraie pas, il n’en est pas de même pour l’étape suivante : comment gérer Junior une fois qu’il sera là ? Comment communiquer avec lui ? Soit, nous avons passé neuf mois ensemble, mais cela ne veut pas dire que nous nous connaissons, bien au contraire. Comment vais-je comprendre s’il a froid, s’il a chaud, s’il a faim ? Et si je ne savais pas comment m’y prendre ? Et s’il tombe malade ? Et si je le rendais responsable des trop importants changements dans mon corps ou d’une potentielle dépression post-natale ? Je vous garantis que ça, c’est plus angoissant que la naissance de Junior. Je pense que le plus important est de ne pas oublier que d’une part, devenir parent n’est ni inné ni facile, et que d’autre part, nous ne sommes pas seules : à la maternité, nous sommes entourées par des sages-femmes, des auxiliaires de puériculture et des médecins qui ont l’habitude de gérer les jeunes mamans et leurs hormones déchaînées.

Et vous, avez-vous des questions particulières relatives à la fin de la grossesse ? Comment envisagez-vous cette période ?

Définitions :
Haptonomie : méthode de préparation à la naissance basée sur le contact entre les parents et leur enfant. Elle est aussi appelée “méthode du toucher affectif”.
Épisiotomie : incision faite au niveau du périnée pour faciliter le passage du bébé lorsque la dilatation n’est pas suffisante.
Péridurale : anesthésie locale destinée à diminuer la douleur des contractions lors du travail de l’accouchement.


Source mag.monchval.com