vendredi 27 février 2015

jeudi 26 février 2015

mercredi 25 février 2015

Recettes Marocaines-Flan aux figues


Flan aux figues

Préparation : 15 mnAjouter une image
Cuisson : 1 heure
Réfrigération : 2 à 3 heures
Pour 4 personnes 

8 figues
10 g de beurre
5 œufs
75 g de sucre
2 pincées de vanille en poudre
60 cl de lait
Cannelle en poudre

1. Préchauffez le four à 140 °C (th. 4-5).
2. Essuyez les figues avec un linge humide, retirez la queue, ouvrez chaque fruit en deux. Beurrez un plat à gratin et déposez-y les figues, côté bombé contre le fond, poudrez-les de cannelle.
3. Dans un saladier, cassez les œufs et battez-les avec le sucre et la vanille. Ajoutez le lait et mélangez soigneusement. Nappez les figues de cette préparation, mettez au four et faites cuire 1 heure, dans un bain-marie, jusqu’à ce que la crème soit prise.
4. Laissez refroidir le flan avant de l’entreposer 2 à 3 heures au réfrigérateur. Servez très frais.


Dessins de presse


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mardi 24 février 2015

lundi 23 février 2015

dimanche 22 février 2015

Billets-Les associations : un fardeau pour les contribuables


Les associations : un fardeau pour les contribuables

Le monde associatif est devenu le cache-sexe de la fonction publique. Officiellement, tout va très bien, Madame la Marquise. Le poids économique du secteur est estimé à 85 milliards d’euros (2012), les associations contribuant à hauteur de 3,2 % au PIB, soit un poids équivalent à celui de l’agriculture et des industries agricoles et alimentaires.

Selon Viviane Tchernonog, chargée de recherche au CNRS et auteur d’un ouvrage de référence sur le monde associatif, le budget cumulé du secteur a progressé au rythme de 2,8 % entre 2005 et 2011 et il emploie 1,8 million de salariés à temps plein ou partiel, majoritairement des femmes (69%).

De la même manière qu’un train peut en cacher un autre, ces chiffres dissimulent une réalité moins flatteuse. Car le boom du monde associatif provient essentiellement de l’externalisation croissante de missions autrefois prises en charge par l’État et aujourd’hui déléguées à des tiers. Au fil du temps s’est installée une fonction publique bis qui ne dit pas son nom, mais dont l’emprise s’élargit. Elle couvre la quasi-totalité de l’aide aux handicapés et de leur insertion, de nombreuses maisons de retraite, s’occupe de l’aide à domicile des personnes âgées dépendantes, des crèches, des centres de vacances, des activités périscolaires, de l’hébergement des clandestins, de sport, de culture…

Chaque année, ce secteur parapublic engloutit des centaines de millions d’euros de subventions publiques. Bien qu’aucune centralisation des données ne soit disponible, on estime que l’État, les collectivités locales et autres structures publiques ont versé 42 milliards d’euros en 2011, ce qui représente près de 50% du budget du monde associatif.


Le profilage des ressources associatives révèle les objectifs de l’État. Si la masse des subventions s’est rétractée de 17 % entre 2005 et 2011, celle des commandes publiques a, en revanche, bondi de 70 % durant la même période.

Ces commandes publiques (voir encadré ci-après) correspondent à l’ensemble des contrats passés par une collectivité pour satisfaire ses besoins que ce soit sous forme de délégation de service public ou encore de contrats de partenariat public/privé. À part quelques missions régaliennes comme les pouvoirs de police, de sécurité et d’hygiène, presque tous les domaines peuvent être confiés à ces structures parapubliques. Ce recours croissant à la délégation a pour effet de favoriser le développement de grosses associations qui exploitent leurs compétences juridiques pour accéder à la commande publique tout en continuant à rafler l’essentiel des subventions.

Fonctionnaires de Bercy
D’après une enquête réalisée par Le Monde en 2013, environ 200 associations sur le 1,3 million recensé en France empochent 60% des aides distribuées par l’État. Sans subventions publiques, la plupart des associations mettraient la clé sous le paillasson. Les structures vouées à la « Défense des droits et causes » canalisent, par exemple, 5,6% des aides distribuées par l’État. Sans adhérents ou presque, elles ne doivent leur survie qu’à l’argent des contribuables. SOS Racisme a, par exemple, encaissé 331 992 euros de subventions d’État en 2013, sans compter les fonds alloués au niveau des échelons locaux. Sans ces aides 100% idéologiques, SOS Racisme ou encore Ni putes Ni soumises auraient disparu depuis belle lurette.

C’est dans le secteur médico-social que l’on trouve les associations les plus riches et les plus puissantes. Les chiffres cités par Viviane Tchernonog révèlent que l’action sociale et la santé absorbent 45% de l’ensemble du budget associatif. Suivent, l’éducation, la formation et l’insertion (12,8%), puis le sport (10,9%).

L’tat n’est pas le dernier à profiter des subventions qu’il distribue. Il récupère d’une main ce qu’il a donné de l’autre. Notamment quand il s’agit de choyer ses brebis. Les associations chargées de l’action sociale en faveur des personnels administratifs ont englouti plus de 100 millions d’euros en 2011, près de 15% de la manne publique. Près de 76 millions d’euros sont voués au bien-être des fonctionnaires du ministère des Finances. Ils sont répartis à travers différentes associations, dont 28,4 millions pour l’EPAF en 2011, chargée d’organiser des vacances dorées à la progéniture des agents de Bercy (plus d’informations sur ces associations du ministère des Finances, ici).
Afin de se développer, les associations reconnues d’utilité publique bénéficient d’une souplesse comptable accrue. Elles peuvent dorénavant acquérir et administrer des immeubles de rapport. Et, émettre des titres associatifs dont le taux de rémunération est librement négocié. Cerise sur le gâteau, elles vont même profiter de fonds fournis par le privé, les collectivités territoriales ou l’État afin de renforcer leur trésorerie. Ces apports seront garantis via un fonds permettant aux financeurs de récupérer leur mise à l’échéance quelle que soit la situation comptable de l’association bénéficiaire !

Ce parachute renforcera significativement les moyens d’associations qui ne sont pas à plaindre. Car si 22 % des associations gèrent un budget annuel inférieur à 1000 euros, 2 % d’entre elles disposent de plus 500 000 euros. Parmi les organismes roulant carrosse, on peut notamment citer l’Association de gestion de la caisse presse de salaire garanti (CAPSAG), la caisse des professionnels de la presse partant en préretraite à qui l’État a fourni 21,4 millions d’euros de subventions en 2013. Pour leur part, l’Association Philharmonie de Paris et l’Association nationale de la recherche et de la technologie (ANRT) ont été dotées de 52,1 millions d’euros de subventions pour la première et de 50,5 millions pour la seconde (2013).


Avec tout cet argent, les associations font leur petit frichti. Et entretiennent des permanents. Beaucoup de permanents. Près de 190 000 associations en emploient. Depuis des années, elles profitent du renfort des emplois aidés. Selon Jean-Philippe Delsol, avocat fiscaliste proche de l’IREF, un think tank libéral, le secteur associatif est le principal bénéficiaire de ces pseudo-jobs administrés. En 2012, relève-t-il, près de 500 000 contrats ont été conclus, dont 430 000 au profit du seul secteur des associations et des collectivités locales. Environ 100 000 emplois aidés se sont ajoutés à ce quota en 2013. Et les parlementaires socialistes viennent de voter une enveloppe de près de 560 millions qui en créera 45 000 de plus en 2015, dont 30 000 dans le secteur non marchand. À ces emplois subalternes ou censés l’être, s’en ajoutent d’autres qui le sont moins.

Une étude publiée par Deloitte et Taste a récemment décortiqué 4112 fiches de paye collectées auprès de 50 associations et fondations de toutes tailles. Conclusion : même si les salaires du monde associatif sont, en moyenne, inférieurs de 16% à 33% à ceux du secteur marchand, certaines rémunérations peuvent atteindre 75 000 euros ! Grâce à ces permanents et aux fonctionnaires que l’État met à leur disposition, les grandes associations ont la capacité de mener un business d’où elles chassent la concurrence, comme dans l’Éducation nationale où la Ligue de l’enseignement et la Fédération Léo Lagrange (sur ces structures, lire notre article « Éducation : les associations bourre-crâne de la République ») raflent 70% du marché. En faisant payer les usagers pour les services qu’elles rendent, elles parviennent en outre à privatiser une partie de leurs ressources.

Comme de grosses PME, les associations profitent de toutes les failles de la réglementation fiscale. Voici quelques mois, le sénateur PS Claude Jeannerot, rappelait (JO du 26/06/2014) qu’elles bénéficient de 20 000 euros d’abattement de la taxe sur les salaires. Il déplorait que cet abattement, non globalisé, permette à une Fédération composée de trente associations, de profiter… 30 fois de l’abattement !

Les ressources « privées », dont le prix payé par les usagers pour le service rendu représentent désormais plus de 50% du financement total des associations. Environ 20 000 sont même soumises aux impôts commerciaux, dont l’impôt sur les sociétés. Le business associatif ne connaît pas la crise !


Source contrepoints.org

Billets-Loi Macron : la gauche plurielle est morte


Loi Macron : la gauche plurielle est morte

À la surprise générale, le Premier ministre a dégainé l’article 49-3 pour faire adopter la loi Macron. Acte d’autorité pour ses thuriféraires, aveu d’impuissance pour ses contempteurs, le recours par l’exécutif à ce dispositif constitutionnel extraordinaire signe en sous-titre la division de la majorité. Pris dans l’étau du camaïeu de rose qui le compose, ne disposant que d’une majorité relative à l’Assemblée nationale, le gouvernement, bousculé par les « frondeurs » en première ligne, a préféré faire passer au forceps le second projet de loi économique phare du quinquennat après le Pacte de responsabilité. Retour sur une séquence législative qui laissera des traces à quelques mois d’un congrès socialiste s’annonçant houleux.

Près de 1 000 amendements, 111 heures de discussions en séance publique, 82 heures de débats et de multiples coups de canifs n’auront pas suffi à souder la majorité autour d’un texte commun. Le projet de loi présenté par Emmanuel Macron, qui aspirait à « libérer l’activité », avait pourtant été largement revisité sous la pression de certaines professions réglementées et d’une partie de l’aile gauche du Parti socialiste. Ainsi, exit l’ouverture de tous les commerces au moins cinq dimanches par an ; le Parlement laissant, in fine, pleine latitude aux conseils municipaux et aux intercommunalités. Exit aussi la libéralisation totale des lignes d’autocars, lesquelles seront finalement ouvertes au cas par cas afin de ne pas concurrencer le TER. Exit également l’encadrement des tarifs des professions du droit et notamment des notaires. Exit enfin la création d’un « secret des affaires » visant à protéger les entreprises tricolores de l’espionnage industriel.

Dit autrement, le lifting imposé par la chambre basse du Parlement avait déjà considérablement édulcoré le projet de loi d’Emmanuel Macron avant que Manuel Valls ne brandisse la menace du 49-3. C’était sans compter sur l’opiniâtreté des « frondeurs », prompts à détricoter le texte du gouvernement (et à le faire savoir !), mais étonnamment moins enclins (et moins diserts !) à voter une motion de censure susceptible d’engendrer une dissolution de l’Assemblée nationale. La lutte des places l’emportant finalement sur la lutte des classes.

Ce faisant, face à la vindicte de la gauche de la gauche, vent debout contre le travail dominical notamment, et au risque de voir le projet de loi retoqué dès sa première lecture faute de majorité, véritable camouflet en perspective pour l’exécutif, le Premier ministre a choisi le passage en force. Prenant à témoin les Français et invitant l’ensemble de la majorité à prendre ses responsabilités, Manuel Valls se pose ainsi en parangon de la réforme… contre une partie de ses troupes.

Cette décision surprise révèle au grand jour les divisions qui émaillent la gauche depuis maintenant plusieurs décennies. Oxymore à lui tout seul, le Parti socialiste demeure écartelé entre son aile gauche, éternelle pourfendeuse de l’économie de marché, et son aile droite, sociale-libérale. La première reprochant à la seconde ses compromissions, la seconde reprochant son dogmatisme à la première.

En leurs temps, Jacques Delors et Michel Rocard avaient tenté, en vain, de dépoussiérer le logiciel socialiste, l’intimant de s’arrimer aux réalités de la mondialisation. Minoritaires dans leurs propres rangs, les deux hommes ne sont finalement jamais parvenus à imposer l’aggiornamento dont le PS avait besoin. Marchant dans les pas de Delors et Rocard, Manuel Valls tente depuis plusieurs années, à petites touches ou parfois à grand fracas, d’opérer une révolution culturelle à gauche. En octobre dernier, il déclarait sans ambages au Nouvel Observateur : « il faut en finir avec la gauche passéiste ». Symboliquement, il a formulé à plusieurs reprises sous les lazzis de La Rochelle le souhait de changer le nom du Parti socialiste.

L’adoption du projet de loi Macron constitue donc, en l’espèce, un véritable test pour la majorité. Un test qui donnera certainement une tonalité inédite au congrès de juin prochain. Après les bévues des élections européennes et municipales, à quelques mois des revers attendus lors des prochaines échéances départementales et régionales, la gauche ne peut s’exonérer d’une profonde remise en question. L’épreuve du pouvoir ayant démontré aux yeux de tous ce que d’aucuns présageaient depuis longtemps : la coexistence des différentes palettes socialistes de rose n’est plus tenable. Cette majorité en perpétuelle cohabitation avec elle-même doit « se réinventer ou mourir », disait Manuel Valls il y a quelques mois. Avec le recours au 49-3, une conclusion s’impose : la gauche plurielle est bel et bien morte.


Source contrepoints.org

samedi 21 février 2015

vendredi 20 février 2015

Dessins de presse


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Billets-La justice


La justice

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Infos santé-Sauna ou hammam ?


Sauna ou hammam ?

De plus en plus de Français découvrent les plaisirs du sauna ou du hammam. Avec toujours la même question : lequel préférer, et surtout, est-ce bon ou mauvais pour la santé ?

En général, les Français ont plutôt peur de ces pratiques, car cela ne fait absolument pas partie de notre culture. A la différence des gens du nord pour le sauna et de ceux du sud pour le hammam, où ce sont réellement des pratiques culturelles et même pour les gens très modestes, il est dommage que l’on ne trouve pas dans notre pays des installations municipales, car ce n’est pas un très gros investissement. Un simple radiateur et de l’eau…
On peut donc être médicalement favorable. Depuis plus de 2000 ans, les Nordiques ont fait de la pratique du sauna un plaisir quasi quotidien, tout comme les habitants du pourtour de la Méditerranée avec le hammam.

Dans le sauna, la chaleur est sèche ; dans le hammam, elle est due à de la vapeur. Mais le principe physique est le même. Un chauffage élève la température d’une pièce à 80-90°. On s’allonge sur une banquette après avoir pris une bonne douche savonnée et, au bout de cinq à dix minutes, le corps se met à suer abondamment. On peut alors se rafraîchir à l’extérieur avec une douche de plus en plus froide, puis revenir plusieurs fois dans l’atmosphère chaude.
L’alternance de sudations – douche froide puis un repos allongé au frais pendant au moins 30 minutes – procure un bien-être important. Nous avons mis beaucoup de temps pour nous initier à cette pratique millénaire, par méconnaissance, et la médecine a longtemps semé le doute sur leur innocuité.
Or des études médicales nordiques ont prouvé depuis des années les bienfaits du sauna sur le stress, la peau, les douleurs musculaires, rhumatismales, mais également – alors que beaucoup de médecins croient le contraire –, sur le cœur et la circulation sanguine. Les détracteurs disent que cela augmente le rythme du cœur. Il augmente en effet  au bout de dix minutes à cette température, mais pas plus que lorsque l’on monte un escalier, que l’on rie ou que l’on est surpris. La seule contre-indication, qui semble être retenue par tous, est l’insuffisance veineuse car la chaleur dilate beaucoup les veines des membres inférieurs.
Mais je répète : les pneumologues conseillent sa pratique dans les infections des voies respiratoires, les dermatologues dans l’urticaire et l’acné. A titre personnel, je trouve que c’est un moment de détente, de discussion et de repos. N’oubliez jamais que l’on doit passer autant de temps à se reposer dans un endroit frais sous une couverture que de temps passé au chaud.
Cela prend quand même un peu de temps… Il faut donc en faire un loisir utile, et l’élimination des toxines par la sueur, la décontraction et l’assouplissement des muscles en font le complément idéal de la pratique sportive.

En revanche, absolument pas pour perdre du poids. C’est même une réputation stupide, et il faut lutter contre cette idée reçue. Jamais le sauna n’a fait maigrir. Vous perdrez sans doute un ou deux kilos par séance, mais il s’agit d’eau qu’il faut reconstituer le plus vite possible dans la pièce de repos. Il faut d’ailleurs se forcer à boire. L’occasion de rappeler l’anecdote du chasseur et son chien, qui ne se passe dans un sauna, mais à la chasse ! On prend un chasseur et son chien. On les pèse le matin au départ de la chasse. Au retour, après avoir marché une vingtaine de kilomètres pour l’homme, plus du double pour son chien, on leur propose autant de boissons qu’ils le veulent. Et bien dix minutes plus tard, le chien a retrouvé le même poids qu’au départ… L’homme, bien qu’il puisse boire ce qu’il veut, mettra une douzaine d’heures pour retrouver son poids. Le but de cette anecdote n’est pas de vous expliquer ce qu’est une soif de chien, mais de comprendre que la sensation de soif est imparfaite chez l’homme.

En conclusion ? Sauna ou hammam ?
Médicalement, il n’y a rien pour trancher. C’est une question de goût et peut-être de sensation d’étouffement avec l’une ou l’autre des méthodes On peut donc conclure tout simplement qu’il s’agit d’un indiscutable moyen pour soigner son hygiène corporelle. D’ailleurs, un dicton nordique dit que « le sauna rend la femme plus belle ». C’est encore à cette langue que l’on empruntera la conclusion sur les contre-indications de cette pratique. On dit, en effet, dans le nord de l’Europe : « Si tu es capable d’aller au sauna… tu supporteras le sauna ! ».


Source : Dr Jean-François Lemoine pourquoi-docteur.nouvelobs.com

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jeudi 19 février 2015

mercredi 18 février 2015

mardi 17 février 2015

Billets-Le 49-3


Le 49-3

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