vendredi 30 novembre 2018
jeudi 29 novembre 2018
mercredi 28 novembre 2018
mardi 27 novembre 2018
Divers Questions-Qu’est-ce-que la non-violence ?
Qu'est-ce-que la non-violence ?
Lorsqu'on parle de "non-violence", il importe d'introduire et de maintenir une distinction dont l'oubli engendre bien des équivoques : celle entre l'exigence philosophique de non-violence et la stratégie de l'action non-violente. L'une et l'autre se situent sur des registres différents qu'il convient de distinguer, non pour les séparer, mais pour ne pas les confondre. En tant que principe philosophique, la non-violence est une requête de sens, en tant que méthode d'action, elle est une recherche d'efficacité.
C'est Gandhi qui a offert à l'Occident le mot "non-violence" en traduisant en anglais le terme sanscrit ahimsa, qui est usuel dans les textes de la littérature hindouiste, jaïniste et bouddhiste. Il est formé du préfixe négatif a et du substantif himsa qui signifie le désir de nuire, de faire violence à un être vivant. L’ahimsa est la reconnaissance, l’apprivoisement, la maîtrise et la transmutation du désir de violence qui est en l’homme et qui le conduit à vouloir écarter, éliminer, meurtrir l’autre homme.
Si l’on s’en tenait à l’étymologie, une traduction possible de ahimsa serait in-nocence. L’étymologie de ses deux mots sont en effet analogues : in-nocent vient du latin in-nocens et le verbe nocere (faire du mal, nuire) provient lui-même de nex, necis qui signifie mort violente, meurtre. Ainsi l’innocence est, en rigueur de terme, la vertu de celui qui ne se rend coupable envers autrui d’aucune violence meurtrière. Cependant, de nos jours, le mot innocence évoque plutôt la pureté suspecte de celui qui ne commet pas le mal beaucoup plus par ignorance et par impuissance que par vertu. L’attitude non-violente ne saurait être confondue avec cette innocence-là. Cependant, cette distorsion du sens du mot est significative : comme si le fait de ne pas commettre le mal révélait une sorte impuissance…L’option pour la non-violence réhabilite l’innocence comme la vertu de l’homme fort et comme la sagesse de l’homme juste.
Lorsque l’homme fait l’expérience de la violence et qu’il met à distance ses affects pour réfléchir, il la reconnaît comme la violation de la dignité de l’humanité, en lui-même et en l’autre homme ; dans le même temps, il découvre la requête de non-violence qu’il porte en lui. Le moi empirique se découvre violent et se nomme tel parce qu’il se réfère à un moi intérieur qui exige la non-violence. Cette exigence de la conscience est en l’homme avant qu’il ne rencontre la violence : l’exigence de non-violence est antérieure et supérieure au désir de violence. Elle est originelle est principielle. Cependant, c’est seulement après l’avoir expérimentée que l’homme prend conscience de la déraison de la violence, de son inhumanité, de son non-sens. Il comprend alors qu’il ne peut construire son humanité qu’en opposant à la violence un non catégorique qui lui refuse toute légitimité. Dire non à la violence, en affirmant que l’exigence de non-violence fonde et structure l’humanité de l’homme, c’est refuser l’allégeance que la violence exige de chacun. Méconnaître cette exigence, c’est nier la possibilité humaine de briser la loi de la nécessité, c’est dénier à l’homme la liberté de s’affranchir de la fatalité pour devenir un être raisonnable. L’ambition de la non-violence est de civiliser la vie.
Celui qui opte pour la non-violence est un homme étonné, il est au sens propre de ce mot, stupéfait par la violence, la sienne propre ou celle d’autrui. Celui qui se décide à la non-violence est un homme blessé par la violence. La dé-figuration du visage par la violence lui apparaît comme le comble de l’ab-jection. Elle provoque en lui la révolte. Il s’insurge contre les routines de violence qui s’emparent du mande. Ce n’est pas la mort qui lui semble abjecte, mais le meurtre. Il voit dans le scandale de la violence l’évidence de la non-violence.
Il a souvent été dit que le mot « non-violence », parce qu’il est négatif, était mal choisi et entretenait par lui-même de nombreuses ambiguïtés. Tout d’abord, il convient de souligner qu’il ne s’agit pas d’une simple mais d’une double négativité, dès lors que l’on considère que la violence est le viol de la vie – et cela donne à ce mot un caractère affirmatif. Surtout, le mot non-violence est décisif par sa négativité même, car il permet, et lui seul, de délégitimer la violence. Il est le terme le plus juste pour exprimer ce qu’il veut signifier : le refus de tous les processus de légitimation et de justification qui font de la violence un droit de l’homme. Si le mot « non-violence » est formellement négatif, il ne signifie pas que la non-violence est la négation de la violence, mais qu’elle se trouve dans un rapport d’opposition réelle à la violence, c’est-à-dire que sa visée est dans détruire les causes et les conséquences. Le non que la non-violence oppose à la violence est un non de résistance. En définitive, la non-violence n’est pas tant le refus de la violence que la lutte contre la violence. Elle est certes abstention, mais cette abstention exige elle-même l’action.
Si nous visualisons le rapprochement des deux mots : « violence / non-violence », nous voyons clairement que la structure même du mot « non-violence » brise vis-à-vis de la violence, toute symétrie, toute réciprocité, toute imitation. La violence s’exerce toujours dans la réciprocité vis-à-vis de l’adversaire ; la non-violence toujours dans la non-réciprocité.
L’option pour la non-violence, c’est l’actualisation dans notre propre existence de l’exigence universelle de la conscience raisonnable qui s’est exprimée par l’impératif, lui aussi formellement négatif : « Tu ne tueras pas. » Cette interdiction du meurtre est universelle. Elle est essentielle, parce que le désir de tuer se trouve en chacun de nous. Le meurtre est interdit parce qu’il demeure toujours possible, et parce que cette possibilité ouvre sur l’inhumanité. L’interdiction est impérative parce que la tentation est impérieuse ; et celle-là est d’autant plus impérative que celle-ci est plus impérieuse. La non-violence est donc d’abord une exigence négative. Elle demande à l’homme de dés-armer ses affects, ses désirs, ses sentiments, son intelligence et ses bras afin qu’il puisse se déprendre de toute mal-veillance à l’encontre de l’autre homme. Il sera alors libre de lui manifester sa bien-veillance, de lui exprimer sa béné-volence.
Avant d’être une méthode d’action, la non-violence est donc, d’abord et essentiellement, une attitude. Elle est l’attitude éthique et spirituelle de l’homme debout qui reconnaît la violence comme la négation de l’humanité, à la fois de sa propre humanité et de l’humanité de l’autre, et qui décide de refuser de se soumettre à sa loi. La non-violence est le respect de la dignité de l’humanité de l’homme, en lui-même et en tout autre homme. Pareille attitude se fonde sur une conviction existentielle : la non-violence est une plus forte résistance à la violence que la contre violence. Une caractéristique de la violence est de provoquer une autre violence. La violence est un enchaînement. La non-violence veut briser cet engrenage. La contre-violence, en définitive, ne permet pas de combattre le système de la violence parce qu’elle en fait elle-même partie et ne fait que l’entretenir. En toute rigueur, la contre-violence est une violence contraire, mais elle n’est pas le contraire de la violence. Elle n’est pas la même violence, mais elle est elle-même une violence. Elle est une violence autre, mais elle est une autre violence. Opter pour la non-violence, c’est, face à la violence subie, refuser de ré-agir en rendant la violence pour la violence, reproduisant ainsi le mal subi. C’est, tout au contraire, décider d’agir librement pour interrompre la chaîne des revanches et des vengeances.
Ici l’enjeu est la liberté, rien de moins, la liberté d’un sujet qui oppose la force et le courage à l’arbitraire des circonstances. Il s’agit de décider. Mais qu’est-ce qui nous empêche de choisir vraiment notre camp, de nous décider pour la non-violence ? Ne serait-ce pas parce que nous nous abandonnons facilement à la foi naïve dans la nécessité, parce que nous refusons finalement de croire en la liberté de l’homme ? Parce que nous jouons avec cette pensée que, la violence étant ancestrale, elle est honorable, respectable, inscrite en quelque sorte dans la destinée humaine. Un héritage, pour ainsi dire, une tradition. Ces arrières-pensées ne désarment-elles pas insidieusement notre capacité de vouloir ? Ces pensées de l’arrière ne minent-elles pas le sol de notre décision ? Avant même que nous choisissions, c’est déjà décidé, nous nous accommodons de la nécessité.
L’exigence de non-violence est une invitation à la conversion : conversion du cœur, du regard, de l’intelligence. Et toute conversion est rupture, dissidence, dépassement, déplacement, dérangement, retournement, basculement, déménagement. Toute conversion est une partance. Mais toute partance est une re-création. Pour que l’homme se décide à la non-violence, il faut qu’il se réveille du sommeil existentiel dans lequel son humanité se trouve endormie. Dans ca sommeil, l’individu se soumet passivement aux habitudes séculaires de la société qu’il n’a pas l’énergie de remettre an cause. Que doit-il décider en définitive ? Eh bien de faire reculer les limites de la nécessité en cultivant la non-violence.
Comme toute exigence éthique, la non-violence présente une double face : l’une invite à ne pas collaborer avec la violence, l’autre à œuvrer pour la justice. Une fois la violence récusée, l’homme peut accomplir l’œuvre positive de la non-violence et manifester de la bienveillance et de la bonté envers l’autre homme. La vertu de non-violence est l’exigence première de la philosophie : elle est le principe même du courage et de la sagesse. La non-violence est l’exigence qui s’impose d’emblée à l’homme dès qu’il se découvre incliné à être violent. Elle conditionne la possibilité d’être bon. C’est pourquoi la philosophie reconnaît l’exigence de non-violence comme la source la plus haute de l’humanité de l’homme. L'exigence de non-violence oblige essentiellement envers les ennemis, c'est-à-dire envers les violents. C'est alors seulement qu'elle prend son véritable sens. Quelle portée aurait-elle si elle n'obligeait qu'envers les amis ? La non-violence est le porche qui désigne à l'homme le chemin du respect, de la compassion, de la bonté, de l'amour. Au-delà encore, celui de la transcendance. Oui, la non-violence propose une transcendance, mais elle n'impose aucun absolu - et cela protège de tout virus idéologique.
Le respect, la compassion, la bonté et l’amour n’invitent pas l’homme à se cantonner à l’intérieur de sa maison, elles l'obligent à l'action vers l'extérieur. Et s'il convient d'affirmer le caractère universel de la non-violence en tant qu'exigence spirituelle, il faut reconnaître le caractère relatif de la non-violence en tant qu'action politique. Par elle-même, l'exigence de non-violence ne donne pas de réponse directe et immédiate à la question de savoir comment agir concrètement dans la situation historique du lieu et du moment. Lorsqu'il faut agir, la certitude fait place à l'incertitude : nous ne savons jamais quelle est l'action la mieux appropriée pour bien faire. Nous ne sommes jamais certains des conséquences de notre action. Jamais, une situation concrète n'impose avec évidence ce qu'il convient de faire pour bien faire. Il n'y a pas d'action qui ne soit sans ambiguïté. Toute action est une expérimentation dont les résultats sont contingents et aléatoires. L'action est toujours à inventer, sans que le plus souvent, nous soyons certains d'avoir trouvé la bonne méthode. L'action est une école d'humilité.
La non-violence se trouve souvent récusée comme une chimère sous prétexte que «la non-violence absolue» n'est pas possible. Mais il y a mal-entendu. La non-violence n'a jamais prétendu être absolue. Certes, l'état de non-violence est en soi une u-topie - c'est-à-dire qu'il n'existe nulle-part, qu'il n'est réalisé en aucun-lieu. Et il y a certainement un bon usage de l'u-topie pour représenter un idéal qui éclaire l'à-venir. Mais le mouvement de réalisation de la non-violence dans la société et dans l'histoire ne part pas de l'u-topie pour s'inscrire dans le réel : il part du réel pour inventer le possible. L'option pour la non-violence ne s'enracine pas dans l'idéal d'une société parfaitement non-violente qu'il s'agirait de mettre en œuvre dans la réalité. La démarche est exactement inverse. La non-violence se fonde sur la prise de conscience de la réalité des multiples violences qui existent dans la société et sur la volonté de transformer cette réalité dans la mesure du possible. Non, la non-violence n'exige pas l'absolu. Simplement, elle demande le possible. Le langage du "tout ou rien" lui est étranger. Entre le tout et le rien, elle veut discerner ce qui est possible ici et maintenant, rien que le possible mais tout le possible. Ce possible qui est généralement délaissé quand il n'est pas dédaigné. Ainsi, non seulement, la non-violence n'est pas un idéalisme, mais, au sujet de la violence, elle invite à un plus grand réalisme.
En définitive, c'est la violence qui est une u-topie. Certes, la violence existe partout, mais jamais, en aucun-lieu, elle n'atteint la fin qui prétend la justifier. Jamais, nulle-part, elle ne réalise la justice entre les hommes. Jamais, en aucun lieu la violence n'apporte une solution humaine aux inévitables conflits humains qui constituent la trame de l'histoire.
Au-delà des chimères et des illusions de l'optimisme, des résignations et des démissions du pessimisme, la non-violence entretient l'espérance fragile que l'homme peut faire croître, en lui et chez les autres, la vertu d'humanité. Cela donne sens à son existence et à son histoire. A sa vie. A sa mort même.
Divers Questions-Qu’est-ce qu’un athée?
Nous sommes le plus souvent endormi par la vie, le succès, le confort, mais aussi par les soucis quotidiens, nos petites occupations, nos loisirs « et chacun de nous meurt affairé » comme dit si bien Épicure. Le réveil arrive parfois, le plus souvent brutalement et dans la douleur : un accident, un drame ou une quelconque épreuve vient bouleverser notre petite tranquillité, notre petite indifférence paresseuse. Et là l’essentiel s’impose: malgré tout le réconfort de nos proches, y-a-t-il une raison à notre malheur? Un sens à notre existence? y-a-t-il une aide surnaturelle qui viendrait tout régler pour le mieux? y-a-t-il un réconfort absolu d’un Être tout aimant?
Être athée, c’est vivre sans ce réconfort, sans cette aide, sans réponse à nos questions de sens. Apprendre à vivre entre hommes, seul, sans Providence ni réconfort transcendant: voilà l’exigence morale de l’athée. Être athée c’est apprendre à voler de ses propres ailes, c’est être responsable de ses valeurs et de sa morale. Dure exigence, mais oh combien satisfaisante… Sincèrement, vivre sans notre illusion qu’il existe quelque part quelqu’un ou quelque chose qui correspond à nos désirs les plus forts c’est prendre un rude chemin, le plus étroit de tous et le moins emprunté. Pourquoi renoncer au réconfort et au sens? Pourquoi l’athéisme? Par lucidité, par amour du réel, même indifférent et silencieux qu’il est, par refus de se soumettre à nos illusions i.e. à prendre nos désirs les plus chers pour la réalité qui n’a pas l’habitude de coïncider avec nos désirs, même les plus infimes : que penser du désir de tous nos désirs? Être athée c’est avoir le bonheur comme fin et la vérité comme norme. C’est apprendre donc à être heureux dans la lucidité: telle est l’exigence première d’une âme philosophique, telle est la voie de la sagesse…
Être athée c’est comprendre qu’il n’y a qu’un seul monde, celui-ci, notre monde naturel si impitoyable et si indifférent à nos désirs; un monde silencieux qui n’a rien à dire qui n’écoute pas, un monde ou tout est hasard et nécessité. C’est comprendre qu’il n’y a qu’une seule vie, celle-ci. Apprendre à vivre seul sans dieux, c’est apprendre à mourir, toutes nos petites morts, jusqu’à la dernière. C’est apprendre que le devenir emporte tout, que rien ne dure éternellement et donc que rien ne mérite qu’on s’y cramponne, qu’on s’y enchaîne, pas même nos rêves…
Désespérance, la mort aura le dernier mot, qui n’en est pas un…
Être athée pourtant c’est s’apercevoir que tout est à faire, tout est à inventer. C’est prendre conscience que nous avons à charge de devenir humain, nous qui le désirons tant: humain, jamais trop humain… Être athée c’est apprendre à être responsable du seul monde que nous avons, à préserver ses richesses naturelles et culturelles et donc apprendre le respect de la diversité. Tolérance et miséricorde, nous sommes seuls, nous ne pouvons compter que sur nous…
Être athée enfin, c’est lutter. Lutter contre nos propres illusions, contre le fanatisme, l’intolérance et l’indifférence. C’est lutter pour un monde plus humain et en paix. Être athée c’est donc construire notre tour de Babel sans que les dieux viennent semer la discorde entre les hommes…
On pourrait se demander pourquoi tant de philosophie et tant d’athéisme? Et justement, à quoi bon tant penser si la vie n’en devenait plus heureuse, plus vertueuse et plus acceptable? Un maître en incroyance, athéisme et matérialisme, André Compte-Sponville aime à répéter la définition Épicure de la philosophie: «La philosophie est une activité qui, par des discours et des raisonnements, nous procure la vie heureuse.» Ayons donc la vie pour objet, la raison pour moyen, la vérité comme norme et le bonheur pour but. Pardonnons à Dieu ou au Destin de n’être pas et vivons du mieux que nous pouvons…
dimanche 25 novembre 2018
Recettes Sans Gluten-Clafoutis aux poires et au roquefort
Clafoutis aux poires et au roquefort
Préparation : 20 mn
Cuisson : 25 mn
Pour 4 personnes
5 poires Williams
1 cuillerée à café bombée de sucre
1 pincée de sel
1 pincée de poivre
3 œufs
25 g de beurre fondu
100 g de Maïzena
20 cl de lait
10 cl de crème liquide légère
100 g de roquefort*
25 g de pistaches concassées*
1. Préchauffez le four à 180 °C (th. 6).
2. Coupez les poires en petits morceaux après les
avoir pelées et épépinées. Sucrez, poivrez. Réserverez.
3. Dans un saladier, battez les œufs avec le beurre et
le sel, jusqu’à ce que le mélange blanchisse.
4. Délayez la Maïzena dans le lait et versez avec la
crème dans le saladier. Mélangez bien afin d’avoir une pâte homogène.
5. Tapissez de poires un plat à gratin beurré. Nappez
de pâte puis de roquefort émietté.
6. Enfournez à mi-hauteur et laissez cuire 25 minutes.
7. Saupoudrez de pistaches concassées. Servez tiède
avec une salade de cresson.
Conseil
(*) Vérifiez l’absence de gluten auprès des
fabricants.
samedi 24 novembre 2018
vendredi 23 novembre 2018
jeudi 15 novembre 2018
mercredi 14 novembre 2018
Infos santé-Douleurs lombaires
Douleurs lombaires
Les douleurs lombaires
sont parmi les douleurs du dos les plus fréquentes et représentent le principal
motif de consultation en chiropratique. La colonne lombaire est composée
de cinq vertèbres et de cinq disques intervertébraux. Que l’on soit assis,
couché, en train de pelleter de la neige ou de marcher, cette région de la
colonne est soumise à des tensions constantes. Les disques intervertébraux
sont souvent impliqués dans les blessures du bas du dos, mais ils ne sont pas
les seuls à pouvoir générer de la douleur. Les muscles peuvent être trop
tendus, la portion articulaire des vertèbres (les facettes) peut être irritée,
les nerfs près de la colonne peuvent être irrités... Dans tous les cas,
les ajustements chiropratiques visent à rétablir une fonction normale qui
éliminera les douleurs.
- Quelques symptômes fréquents des douleurs lombaires
• Point en plein centre, dans le bas
du dos
• Sensation de barre juste au-dessus
du bassin
• Point constant dans le haut de la
fesse ou près de la hanche
• Difficulté à se redresser après
s’être assis
• Difficulté à se pencher pour mettre
ses bas
• Difficulté à marcher ou à rester
assis plus de quelques minutes
- L’entorse lombaire
Le lumbago, l’entorse
lombaire et le tour de reins sont une seule et même chose : il s’agit d’une
condition où un disque intervertébral lombaire devient tellement douloureux que
tous les mouvements de base deviennent impossibles. Un effort physique intense
peut provoquer la crise, mais très souvent, c’est une condition qui se
développe petit à petit et qui se déclenche sans cause apparente. Puisque
la partie arrière d’un disque est beaucoup plus innervée et beaucoup plus
sujette aux déchirures, la personne qui souffre d’une entorse lombaire se tient
presque toujours penchée vers l’avant pour réduire la douleur. Tous les
mouvements et les changements de position sont alors pénibles. Si la
blessure du disque est localisée d’un côté plus que de l’autre, la personne
peut alors se courber latéralement de façon impressionnante. Puisque les
entorses lombaires ont tendance à récidiver, il est préférable de ne pas
attendre pour se faire soigner
- Symptômes habituels de l’entorse lombaire
• Apparition subite de la douleur
• Forte douleur dans le bas du dos, en
plein centre ou sur un côté
• Incapacité de se tenir droit
• Incapacité de rester assis
• Tous les mouvements sont difficiles,
surtout vers l’arrière ou sur un côté.
Infos santé-Le hoquet
Le hoquet
Si je vous dis
« irritation du nerf phrénique lors de son passage à travers le diaphragme
provoquant une contraction brusque et involontaire des muscles
respiratoires », aurez-vous compris que cela nous explique les causes du
hoquet ?
Car c’est en effet ce
nerf phrénique qui le provoque lorsqu’il est irrité. Il est dû à une
inspiration brutale associée à la fermeture de la glotte qui freine l'arrivée
d'air. La fréquence varie de 10 à 60 hoquets par minute, mais c'est surtout la
durée de la crise qui fait la gravité de ce symptôme assez banal. Autant le
hoquet aigu est peu problématique, autant sa persistance au-delà de 48 heures
en fait une véritable maladie à prendre très au sérieux, car elle peut conduire
celui qui en souffre à l'épuisement.
Dans sa forme aiguë,
celle que tout le monde a connue un jour ou l'autre, on sait que les raisons
sont essentiellement digestives. Dans la forme qui traîne, les pistes sont
tellement nombreuses – on dit en médecine qu'il y a près de 200 raisons de
présenter un hoquet – qu'il s'agit d'un véritable casse-tête pour le médecin.
Pendant ce temps-là, le malade se marginalise. Il perd l'appétit, le sommeil et
souvent son travail par la même occasion.
Que peut-on faire en
cas de hoquet simple ? Il y a un certain nombre de recettes populaires qui
circulent, des solutions qui peuvent, en effet pour certaines, paraître
farfelues, mais qui sont tout à fait calquées sur nos connaissances les plus
récentes. Par exemple, on s'est aperçu que le hoquet diminue lorsque l'oxyde de
carbone augmente. Augmenter ce gaz carbonique, c'est par exemple suspendre sa
respiration le plus longtemps possible ou faire des mouvements de respiration
profonds et rapides.
La légende populaire
affirme qu’il faut effrayer celui qui hoquette… Cela peut marcher, du moins si
ça marche, il y a une explication… On est face à la stimulation d'un de nos
nerfs, le pneumogastrique ; un terme bien compliqué pour justifier l'hypnose,
l'acupuncture ou encore les tentatives pour effrayer celui qui hoquette.
Cela passe également
par la prise d'un verre d'eau, le plus rapidement possible, des tractions sur
la langue, avaler de la mie de pain ou du vinaigre sur un sucre... Pour une
fois, la médecine fait bon ménage avec les remèdes de bonne femme. Du moins en ce
qui concerne le hoquet simple… Pour celui qui persiste et épuise, une
consultation urgente s’impose.
Source :
Dr Jean-François Lemoine pourquoi-docteur.nouvelobs.com
Infos santé-Le cerveau choisi le classement de ce qu’il doit mémoriser
Le cerveau choisi le classement de ce qu’il doit
mémoriser
Jusqu’à ces deux
études séparées et publiées dans les PNAS il y a quelques jours, on croyait la
capacité de mémorisation du cerveau humain illimitée ou presque sans qu’on
n’ait jamais pu prouver cet a priori. On a en effet coutume de considérer qu’on
est loin, très loin, d’utiliser la totalité des potentialités de notre cerveau
et que par conséquent un meilleur apprentissage de nos capacités de
mémorisation pourrait éventuellement décupler notre aptitude à emmagasiner des
informations variées, utiles ou non. Or ces deux études montrent clairement
qu’il n’en est rien et que le cerveau se comporte sans que l’on en soit
conscient comme le disque dur d’un ordinateur. Comparer le cerveau à un disque
dur d’ordinateur n’est peut-être pas vraiment adapté mais au moins cela permet
d’expliquer comment les choses se passent dans la réalité selon ces deux
études. Quand on a atteint les limites de stockage d’un disque dur, on décide
d’éliminer les fichiers qui ne sont plus que rarement utilisés pour libérer de
l’espace de mémoire. Cette opération est faite délibérément. Le cerveau fait un
peu la même chose mais ce processus est totalement inconscient, et c’est ce
qu’ont montré ces deux études.
Dans la première
approche, 55 participants ont été soumis à un exercice de perception visuelle
durant lequel ils voyaient défiler pendant moins d’une seconde des images
montrant simultanément quatre photos. Quatre visages identiques, ou deux
visages et deux paysages, ou encore quatre objets identiques ou deux objets et
deux visages, tout en suivant l’activité cérébrale par imagerie fonctionnelle
par résonance magnétique nucléaire (fMRI). Immédiatement après avoir visionné
ces images, on demandait aux participants, toujours en cours d’examen par fMRI,
de nommer les images ou les photos dont ils se souvenaient, c’est-à-dire celles
que le cerveau avait mémorisé pendant l’exercice.
La perception visuelle
est traitée par le cortex visuel situé à l’arrière du cerveau dans la région
occipitale. Les informations sont stockées dans une autre partie du cerveau
appelée le cortex occipito-temporal et dans des régions discrètes de ce dernier
et séparées les unes des autres selon qu’il s’agit de photos de visages, de
maisons, d’objets ou de paysages, c’est ce qu’a montré la fMRI. L’activation de
ces différentes zones de mémorisation dépend, selon cette étude, de la nature
des images soumises aux sujets en cours d’étude. La mémorisation des visages
est par exemple systématiquement plus efficace si, sur une image, il y a deux
visages et deux paysages en comparaison d’une autre image avec seulement quatre
visages. Le cortex visuel effectue donc un tri et envoie pour mémorisation une
partie des informations que lui a envoyé la rétine. Toujours par fMRI, l’équipe
de chercheurs de l’Université d’Harvard a ainsi montré que le cerveau
effectuait de lui-même un classement des informations selon leur importance et
les stockait dans des zones du cerveau différentes les unes des autres.
En quelque sorte, le
cerveau s’arrange pour qu’il n’y ait pas « d’embouteillage » au niveau des
circuits neuronaux reliant ces zones du cortex relativement éloignées les unes
des autres en effectuant une sorte de tri totalement indépendant de notre volonté.
Dans une autre étude,
effectuée cette fois à l’Université du Texas à Austin, l’approche était
différente car la stimulation visuelle consistait à montrer des séries de trois
photos, des objets, des paysages ou des visages, et à demander aux
participants, après les deux premières photos, quelle était leur supposition
quant à la nature de la photo suivante, par exemple un visage, après deux
visages ou un objet après deux objets. Et parfois on montrait alors au sujet un
paysage alors qu’il aurait souhaité voir un visage. Le but du test était de
faire en sorte que chaque sujet se soumette en réalité à un classement des
photos qu’on lui montrait, le visage d’un homme ou d’une femme, ou encore une
scène prise à l’extérieur ou à l’intérieur d’une maison. Dix minutes après
avoir visionné ces groupes de 3 images successives, 144 illustrations au total
soit 48 séries de trois photos, on soumettait les participants à l’étude à un
test surprise en leur montrant à nouveau toutes les images qu’ils avaient
visionnées précédemment dans un certain ordre, mais en introduisant au hasard
dans la série 48 autres images qu’ils n’avaient jamais vues. On demandait alors
à chaque sujet au cours de cette deuxième partie du test d’identifier les
images dont ils se souvenaient et celles qu’ils n’avaient encore jamais vu en
essayant simultanément d’établir une note concernant le degré de certitude de
leur réponse. Il faut se souvenir pour bien comprendre la signification du
second test que lors de la première partie de l’investigation, les séries de
trois images étaient ordonnées pour que les sujets de l’étude anticipent la
nature de la troisième image qu’il leur était donnée de voir au cours du test.
Comme on pouvait s’y attendre un peu, au cours du second test surprise les divers
sujets soumis à l’étude arrivaient beaucoup moins bien à se souvenir des deux
images qu’ils avaient déjà vu quand la troisième image était hors contexte,
donc jamais vue auparavant.
Les chercheurs en ont
déduit que le cerveau est loin de tout mémoriser de manière identique et
effectue donc un classement suivant un certain ordre de priorité. Ce classement
a également pour but d’alléger les interconnexions entre les zones du cortex cérébral
et d’éviter ainsi un encombrement préjudiciable à la bonne qualité du processus
de mémorisation mais également de mettre « à la corbeille » des informations
jugées, de manière totalement inconsciente, « inutiles » afin de préserver un
espace de mémorisation suffisant. Peut-être un début d’explication de l’oubli
involontaire que l’on peut parfois constater et qui n’a rien à voir avec la
perte de mémoire.
Aussi incroyable que
cela puisse paraître, le cerveau gère donc automatiquement et inconsciemment le
processus de mémorisation. Pour en revenir à la comparaison avec un ordinateur,
ce serait un peu comme si on disait à ce dernier de trier tous les e-mails
reçus dans la boite de courrier électronique automatiquement sans qu’on
intervienne directement et de mettre à la corbeille tous les messages que
l’ordinateur classerait de lui-même comme indésirables, la corbeille se vidant
également automatiquement. Le cerveau est donc bien une incroyable machine à
traiter les informations avec ses propres critères dont on est totalement
inconscient !
Infos santé-Angine et mal de gorge de l’adulte
Angine et mal de gorge de l’adulte
- Quels sont les symptômes du mal de gorge ?
Des
irritations et parfois des brûlures peuvent se faire ressentir dans la gorge,
au point d’affecter la capacité de déglutition. Le patient a des difficultés à
avaler, particulièrement des aliments solides. Ces douleurs de gorge
s’accompagnent souvent d’autres symptômes typiques du rhume : fièvre, nez qui
coule, toux, enrouement. On peut observer un gonflement des ganglions
lymphatiques du cou, une haleine désagréable ou des difficultés respiratoires.
Toutefois,
il est important de savoir que, si tous les maux de gorge ne sont pas des
angines, certaines angines peu douloureuses peuvent faire encourir des risques.
- Quelles sont les causes des maux de gorge ?
Ces
maux de gorge ont diverses origines possibles :
Une inflammation des amygdales
qui prennent une couleur rouge (angine rouge) ou se recouvrent d’un dépôt blanc
(angine blanche).
Une irritation de la gorge
imputable à un air trop sec, à des poussières ou à de la fumée de tabac.
Un mal de gorge après que l’on a
trop parlé ou crié.
Une inflammation due au passage
d’un objet inhabituel (arête de poisson, par exemple).
Une irritation due à un reflux
gastro-œsophagien.
Un rhume accompagné d’un nez qui
coule et de quintes de toux (trachéite ou rhinopharyngite).
Une inflammation du larynx
(laryngite) accompagnée d’un enrouement, d’une toux sèche et de fièvre.
D’autres infections plus rares :
mononucléose, rougeole ou diphtérie, par exemple.
- Quelles sont les complications éventuelles des maux de gorge ?
C’est
la cause du mal de gorge qui détermine les complications possibles. Il peut
arriver qu’un mal de gorge dû à un refroidissement ou à une angine évolue
respectivement en sinusite ou en abcès lorsqu’il n’a pas été traité. Certaines
angines d’origine bactérienne peuvent provoquer de graves complications à long
terme, par exemple une infection des valves du cœur.
- Que faire en cas de mal de gorge ?
Buvez beaucoup. Les tisanes
sucrées avec du miel peuvent se révéler utiles pour calmer les maux de gorge.
En cas de fortes douleurs en
avalant, prenez des aliments liquides, en bouillie ou en purée tels que des
soupes, de la semoule, des compotes, etc.
Évitez les aliments acides
(agrumes, tomates, vinaigre, par exemple) et trop salés (chips ou biscuits pour
l’apéritif, etc.).
Sucez des bonbons au miel ou
mâchez du chewing-gum. La salive contient en effet des anticorps qui aident à
combattre l’infection.
Si le mal de gorge est intense,
la prise d’un médicament antalgique pendant un temps limité peut calmer la
douleur.
- Quand faut-il consulter un médecin en cas de mal de gorge ?
Consultez un médecin
dans la journée lorsque le mal de gorge est difficilement supportable ou
s'accompagne d'autres symptômes (fièvre, maux de tête, difficultés à respirer,
vomissements, etc.).
Consultez un médecin
dans les jours qui viennent si ces maux ne s'améliorent pas au-delà de
48 heures d'automédication.
- Que fait le médecin en cas de maux de gorge ?
Il
procède à un examen du fond de la gorge pour déterminer la cause de
l’affection. Si les amygdales sont enflammées, il peut également procéder à un
frottis de leur surface (test de diagnostic rapide de l’angine à streptocoques)
pour déterminer quels germes sont en cause et proposer ainsi le traitement le
plus adapté.
- Comment soulager un mal de gorge ?
Les
traitements locaux des maux de gorge peu intenses et sans fièvre sont nombreux.
Ils se présentent sous forme de collutoires, pastilles ou comprimés à sucer.
Ils contiennent des antibactériens qui ont une action antiseptique, des
anesthésiques locaux qui ont une action antalgique ou des extraits de plantes à
visée adoucissante. Les médicaments contenant un anesthésique local sont
susceptibles de perturber la déglutition et de provoquer ainsi des «
fausses-routes » (passage d’aliments dans les voies respiratoires) : évitez de
les prendre juste avant un repas.
En
cas d'inflammation douloureuse, il est possible de prendre un antalgique
contenant du paracétamol ou un anti-inflammatoire non stéroïdien (AINS).
Certains AINS (acide niflumique, acide tiaprofénique) sont spécifiquement
indiqués dans le traitement des inflammations douloureuses de la gorge. Dans le
cas d’une infection bactérienne confirmée ou fortement suspectée, le médecin
peut prescrire un traitement antibiotique par voie orale.
Source : Vidal
lundi 12 novembre 2018
Infos santé animale-Comment déceler l'arthrose canine
Un chien plus fatigué et qui a du mal à se lever sont des signes possibles d'arthrose canine.
Comment
déceler l'arthrose canine
L'arthrose ne
touche pas que les chiens âgés. Aussi est-il important de savoir reconnaître
les signes avant-coureurs. Faites le test !
Articulation
Comme chez l'homme,
l'arthrose canine est une affection dégénérative chronique qui touche les
articulations : le genou (grasset), le coude, l'épaule, la hanche, ainsi que la
colonne vertébrale. D'abord au niveau du cartilage, puis de l'os. L'animal
manifeste des raideurs et de la douleur. Mais comment les détecter quand celui
qui en souffre ne peut parler ? Voici un petit test, suivi de quelques
explications.
TEST
Votre chien montre-t-il un de ces signes ?
- Il a du mal à se
lever.
- Il a du mal à se
déplacer (marche, course, saut).
- Il a du mal à monter
des marches.
- Ses membres sont
raides, le chien les plie difficilement, surtout après un effort.
- Il boite lors des
promenades.
- Il se repose plus
que d'habitude.
- Il est moins vif,
fait moins de fêtes.
- Il a moins
d'appétit.
- Il se met à grogner
quand on le touche ou le caresse.
Si le chien manifeste
au moins un de ces signes, une consultation chez le vétérinaire s'impose.
Celui-ci procèdera à un examen orthopédique qui permettra d'évaluer
l'inflammation, la boiterie et la douleur de l'animal. Le diagnostic établi
d'après cet examen clinique pourra par la suite être confirmé et affiné par des
radiographies.
Prévention et traitement
Il est recommandé de
faire pratiquer un exercice régulier, mais non excessif, au chien, ainsi que de
contrôler son poids (l'embonpoint fragilisant les articulations) via une
alimentation adaptée. Ces mesures permettent de prévenir la maladie, mais
également d'atténuer la douleur liée à une arthrose canine et à ralentir la
progression de l'affection.
Quels chiens sont les plus à risques ?
Âge
Les vétérinaires
estiment que l'arthrose touche 1 chien sur 5... après l'âge d'un an seulement !
Toutefois, la fréquence de l'arthrose canine est supérieure chez les chiens
âgés.
Race
Et si ce n'est pas une
question de race, la taille du chien joue : la fréquence de l'arthrose est en
effet supérieure chez les grandes races comme le Labrador, le Berger Allemand,
le Dogue, etc. Ce qui ne veut pas dire que les petites races sont épargnées.
Photo : ©LAURA DOSS / AFP
Source sciencesetavenir.fr
dimanche 11 novembre 2018
samedi 10 novembre 2018
Recettes Sans Gluten-Madeleines
Madeleines
Préparation : 10 mn
Cuisson : 10 mn
Pour 20 madeleines environ
3 œufs
100 g de sucre semoule
1 cuillerée à café d’extrait de vanille*
1 pincée de sel
1 gousse de vanille*
½ cuillerée à café de bicarbonate de soude
170 g de Maïzena
125 g de beurre fondu
100 g de pépites de chocolat*
1. Préchauffez le four à 210 °C (th. 7).
2. Dans un saladier, battez les œufs, le sucre et
l’extrait de vanille jusqu’à ce que le mélange blanchisse. Ajoutez le sel.
Fendez la gousse de vanille en 2. Récupérez la pulpe et ajoutez-la au mélange.
3. Mélangez le bicarbonate de soude à la Maïzena, puis
versez dans le saladier avec le beurre fondu.
4. Mélangez jusqu’à obtenir une pâte lisse et
homogène.
5. Versez la pâte dans 2 récipients. Ajoutez dans l’un
des deux les pépites de chocolat.
6. Versez la pâte dans le moule à madeleines
préalablement beurré. Ne remplissez le moule qu’aux ¾. Répétez l’opération
autant de fois que nécessaire.
7. Enfournez à mi-hauteur et laissez cuire 10 minutes,
jusqu’à ce que les madeleines soient dorées sur les bords et légèrement plus
claires sur le dôme.
Conseil
(*) Vérifiez l’absence de gluten auprès des
fabricants.
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