dimanche 31 décembre 2017
Photos-Expo Mapplethorpe au Grand Palais
Expo Mapplethorpe au Grand Palais
S’il y a bien des photos exceptionnelles au
sens fort du terme, ce sont justement celles-là. (Attention, article avec des
images #NSFW)
Mapplethorpe, c'est LE
photographe PD SM du New York des années 1980, mort du sida en 1989. On a tous
en tête ses photos de fleurs et de pénis: Man
in a polyester suit par exemple: le portrait d’une bite noire qui sort
de la braguette d’un mec en costard dont on ne voit pas le visage; ses photos
de mecs, de pratiques et d’accessoires SM et son fameux autoportrait où on le
voit de dos, en chaps, se rentrer un manche de fouet dans le cul et nous lancer
un regard bien acéré par dessus l’épaule.
Dit comme ça, ça fait
presque documentaire et c’est tant mieux. Je le fais exprès pour contrer
l’habillage de l’expo, avec une scénographie made in France qui vise à tirer
l’underground vers le haut, remplacer la subculture par la haute culture et
canoniser le grand artiste. Je cite le dossier de presse:
«L'enjeu de cette expo est de montrer que Maplethorpe est un
grand artiste classique.»
Pourquoi pas européen
tant qu’on y est?
Du coup, on a droit
dès l’entrée à toute une série de photos de sculptures grecques qui nous
hissent hors de la boue new-yorkaise, des clubs SM et du Gay Liberation Front des années 1970. Hum. Et
comme si ça ne suffisait pas, l’expo nous sort une section féminine
compensatrice présentée comme indispensable: «les femmes de Mapplethorpe».
Elles ne se bouculent pas au portillon, les femmes de Mapplethorpe. Ils en ont
trouvé que deux: Patti Smith et la très obscure Lisa Lyon. Mais faut croire
qu’elles comptent pour mille vu que ce sont «ses muses».
M'est avis que
Mapplethorpe avait franchement d’autres sources d’inspiration. Mais, je cite le
catalogue:
«Elles permettent d’aborder le thème de la féminité et de
voir un aspect moins connu de l’œuvre.»
Alors c’est vrai que
Patti Smith a passé pas mal de temps à traîner dans le Village et au Chelsea
Hotel avec Mapplethorpe avant qu’il réponde à l’appel du sexe gay et sado maso.
Elle le raconte très bien dans Just Kids,
son livre sur leur relation et le New York des années 1960-70.
Mais justement,
c’était avant Stonewall, leur bohème à deux. Et en matière de féminité, c’est
drôle de voir que les autoportraits du photographe en drag –sublimes– comptent
pour du beurre.
Le clou si l’on peut
dire, c’est la section «Eros» –pas «Porno»– interdite aux moins de 18 ans
et enkystée comme une darkroom au centre
de l’expo. Pas trop grande, je vous rassure. C’est tout de même fascinant de
voir que la bite au repos, c’est de l’art donc c’est ok dans les autres
sections de l’expo mais qu’un sexe en érection va direct en enfer. Avec bien
sûr toutes les photos SM mais attention, l’expo est fist free.
Or s’il y a bien des
photos exceptionnelles au sens fort du terme, ce sont justement celles-là. Je
pense notamment à Double fist fuck, [ci-contre] une photo de 1978, où l’on voit
deux bras plongés dans le cul d’un homme. Ces photos visibilisent la nouvelle
pratique sexuelle du XXe siècle inventée par les pédés.
Elles témoignent de la
transformation radicale de la masculinité américaine dans les années 1970,
affectée –pour ne pas dire infectée– par une subculture gaie qui a fait naître
un puissant sentiment collectif. Ce n’est pas pour rien qu’elle détourne les grands
classiques de la virilité nationale avec le cow-boy et les chaps pour le cul.
Comme le rappelle la sublime photo du cowboy,
bite pendante, Victor Huston de 1979. Ce que je trouve franchement
problématique dans une expo au Grand Palais, surtout quand
on connaît son directeur.
Maintenant vous pouvez
y aller! Il faut y aller parce qu’il y a quand même 250 photos dont les
polaroïds qu’il faisait dans les années 1970. Perso, j’aurais aimé qu’il ait
plus de ses collages aussi. Mais souvenez-vous que vous allez payer pour voir
et ne pas voir.
Exposition Mapplethorpe à Madrid en 2007. REUTERS/Susana Vera
Source slate.fr
vendredi 29 décembre 2017
mardi 26 décembre 2017
Recettes Chocolats-Caramels au chocolat
Caramels au chocolat
Préparation : 10 mn
Cuisson : 10 à 12 mn
Pour 50 à 60 caramels
250 g de sucre en poudre
100 g de crème fraîche
50 g de miel
50 g de cacao en poudre
Huile d’arachide
1. Préparez le caramel : dans une casserole, mélangez le sucre, la crème fraîche, le miel et le cacao. Chauffez en remuant à la cuillère en bois jusqu’à ce que le caramel devienne d’une couleur ambre foncée.
2. Posez un cercle à tarte de 22 cm de diamètre sur un papier sulfurisé, huilez-le légèrement. Versez-y le caramel et laissez tiédir.
3. Retirez le cercle et découpez le caramel en carrés. Enveloppez-les de film alimentaire et rangez-les dans une boîte.
Variante
Préparez des caramels mous au café : procédez de la même façon avec 250 g de sucre en poudre, 100 g de crème fraîche, 2 cuillerées à soupe d’extrait de café et 12 gouttes de jus de citron.
Cuisson : 10 à 12 mn
Pour 50 à 60 caramels
250 g de sucre en poudre
100 g de crème fraîche
50 g de miel
50 g de cacao en poudre
Huile d’arachide
1. Préparez le caramel : dans une casserole, mélangez le sucre, la crème fraîche, le miel et le cacao. Chauffez en remuant à la cuillère en bois jusqu’à ce que le caramel devienne d’une couleur ambre foncée.
2. Posez un cercle à tarte de 22 cm de diamètre sur un papier sulfurisé, huilez-le légèrement. Versez-y le caramel et laissez tiédir.
3. Retirez le cercle et découpez le caramel en carrés. Enveloppez-les de film alimentaire et rangez-les dans une boîte.
Variante
Préparez des caramels mous au café : procédez de la même façon avec 250 g de sucre en poudre, 100 g de crème fraîche, 2 cuillerées à soupe d’extrait de café et 12 gouttes de jus de citron.
Recettes Chocolats-Moelleux chocolat et noix
Moelleux chocolat et noix
Préparation : 15 mn
Cuisson : 20 mn
Pour 6 personnes
100 g de noix
100 g de chocolat
100 g de beurre demi-sel
2 œufs
50 g de farine
½ sachet de levure
1. Préchauffez le four à 175 °C (th. 5-6).
2. Mixez grossièrement les noix. Faites fondre le
beurre et le chocolat. Ajoutez le sucre, les jaunes d’œufs, la farine, la
levure et les noix. Montez les blancs en neige, puis incorporez-les à la
préparation.
3. Versez dans des petits moules beurrés et enfournez
pour 15 à 20 minutes suivant la taille des moules. Laissez refroidir et servez.
4. Vous pouvez réserver quelques noix pour la
décoration des moelleux.
Recettes Chocolats-Mille-feuille au chocolat
Préparation : 40 mn
Cuisson : 10 à 12 mn
Repos : 24 heures
Pour 8 personnes
Biscuit au chocolat :
340 g de poudre d’amandes
450 g de sucre semoule
100 g de cacao en poudre
15 g de farine
18 blancs d’œufs frais
150 g de sucre
Crème au chocolat :
50 cl de lait entier
5 jaunes d’œufs
50 g de sucre
450 g de chocolat mi-amer
Feuilles de chocolat :
200 g de chocolat de couverture
1. Préparez le biscuit : tamisez les poudres ensemble. Montez les blancs en neige, incorporez le sucre. Continuez à les battre en neige ferme. Incorporez délicatement les poudres dans les blancs.
2. Préchauffez le four à 180 °C (th. 6).
3. Sur une plaque beurrée, dressez des rectangles de la taille des gâteaux désirés, à la poche à douille ou à l’aide d’une cuillère à soupe.
4. Enfournez pour 10 à 12 minutes.
5. Préparez la crème : faites bouillir le lait. Dans un saladier mélangez les jaunes avec le sucre. Versez le lait et remettez le tout dans la casserole. Faites cuire jusqu’au moment où la crème nappe la spatule en bois. Versez sur le chocolat haché et mélangez. Réservez 24 heures au réfrigérateur.
6. Préparez les feuilles de chocolat amer : faites fondre le chocolat au bain-marie. Faites refroidir à 31°C et étalez sur 1 feuille de papier sulfurisé. Laissez refroidir et détaillez des rectangles de la taille du biscuit.
7. Posez le biscuit dans un plat et alternez ensuite en couches successives la crème et les feuilles de chocolat. Terminez par une feuille de chocolat.
Billets-Réseaux sociaux…
Réseaux sociaux… les jeunots à la rescousse des seniors
De plus en plus d’entreprises demandent aux jeunes
employés d’aider leurs collègues dans l’utilisation des réseaux sociaux. Non
sans difficulté.
Entre les
jeunes d’une vingtaine d’années familiers des réseaux sociaux et les cadres
d’un âge plus avancé, fâchés avec la technologie, la fracture numérique sur les
lieux de travail est de plus en plus grande. Pour remédier à ce problème, un
nombre croissant d’entreprises recourent au “tutorat inversé” en faisant
travailler de jeunes employés avec des collègues plus âgés pour développer les
compétences technologiques de ces derniers.
Les
binômes ne fonctionnent pas toujours : ils peuvent être intimidants pour les
jeunes tuteurs et embarrassants pour leurs aînés, parfois gênés de révéler leur
faible niveau de connaissances. Rebecca Kaufman, une community manager de 24
ans qui est chargée de communication numérique chez MasterCard depuis deux ans
raconte qu’elle a été “terriblement intimidée” quand
on lui a demandé d’être la tutrice d’un cadre supérieur de 50 ans, Ron Garrow.
La jeune
femme fréquentait les réseaux sociaux depuis une dizaine d’années, mais la
perspective d’aider un cadre de haut niveau à se familiariser avec ces
nouvelles technologies était assez effrayante. Deux rencontres, l’une en
décembre et l’autre en janvier, ont eu lieu dans le bureau du senior. Le cadre
a facilement accepté la première proposition de sa tutrice : augmenter la
fréquence de ses visites sur le réseau LinkedIn en s’y rendant non plus chaque
semaine mais chaque jour, et commencer à partager des articles avec ses
contacts.
Mais il a
été plus réfractaire à l’idée d’utiliser Twitter. L’importance d’éviter toute
déclaration publique pouvant s’avérer dangereuse était d’autant plus ancrée en
lui qu’il avait travaillé dans deux grandes compagnies bancaires pendant
vingt-six ans avant de rejoindre MasterCard en 2010. Dans ce milieu, les cadres
supérieurs devaient “obtenir une multitude
d’approbations” avant de pouvoir s’exprimer en public. “Psychologiquement, les 140 caractères étaient aussi
très intimidants”, précise Ron Garrow.
La jeune
femme l’a encouragé à surmonter ses réticences en lui présentant Twitter comme “un univers entièrement nouveau, qui vous permet
d’avoir des contacts avec tous les gens qui vous intéressent”. Quand
elle lui a demandé “Comment souhaitez-vous vous
positionner sur le réseau ?” il n’a pas su quoi répondre. Père de quatre
enfants âgés de 14 à 26 ans, Ron Garrow s’est dit avec humilité : “Elle a 24 ans, l’âge de mes enfants, et je dépends
totalement d’elle.” Comprenant que la réputation de ce cadre supérieur
était en jeu, Rebecca a fait quelques recherches pour l’aider à identifier des
experts en ressources humaines et des auteurs influents sur les réseaux
sociaux.
Ron Garrow
a ouvert un compte Twitter, a créé son profil et s’est exercé à utiliser le
site. Sa tutrice l’a aidé à formuler ses premiers tweets. Lors d’une visite à
l’université du Michigan, en juin, il a voulu twitter une photo d’un collègue
et de lui-même en compagnie d’étudiants de MBA. Il a envoyé à la jeune femme un
courriel sibyllin renfermant la description, rédigée à la hâte, d’une opération
complexe – la simulation par des étudiants d’une séance d’information organisée
par une entreprise pour des investisseurs –, en ajoutant ces mots : “Je voudrais le twitter, mais je ne sais pas
comment.” Elle lui a proposé une autre formulation, lui-même a réécrit
le message et a twitté la photo en quelques minutes.
- Premiers pas sur Twitter
A l’issue
de cinq mois de collaboration, Ron Garrow totalise 2 352 contacts sur LinkedIn,
vérifie son compte Twitter 8 à 10 fois par jour, suit les comptes de 109
utilisateurs et envoie une cinquantaine de tweets par mois. Rebecca l’a
félicité quand il a dépassé les 400 followers et elle a salué le score
supérieur à la moyenne de 45 qu’il a obtenu sur Klout, un site de classement
des utilisateurs en fonction de leur influence sur les réseaux sociaux, en
soulignant : “C’est presque la moitié de celui
d’Obama.” Elle continue néanmoins de l’encourager à twitter sur des
sujets personnels. Le cadre avoue que sa fille Clare, 14 ans, trouve ses tweets
ennuyeux.
Mais,
selon lui, le partage d’informations personnelles en ligne “nous place dans des situations inconfortables”.
Récemment, lors d’une sortie à New York avec sa femme Dana, il a commencé à
rédiger un tweet mais s’est aussitôt interrompu car il n’était “pas encore prêt à franchir cette ligne”. Le
binôme a eu à surmonter des différences générationnelles. Dernièrement, alors
qu’ils rentraient en voiture d’une conférence, Rebecca était en train de
travailler sur son Smartphone quand Ron Garrow a entamé une conversation sur la
carrière de la jeune femme. Après avoir discuté un moment avec lui, elle s’est
penchée à nouveau sur son téléphone.
Elle
reconnaît avoir apprécié l’intérêt qu’il lui portait et n’a pas remarqué sa
gêne. De son côté, le cadre a trouvé que le comportement de Rebecca “était un peu maladroit”. A l’âge de la jeune
femme, il aurait cherché à faire bonne impression sur un cadre supérieur. “Je me suis dit qu’elle se conduisait exactement
comme ma fille, quand elle monte dans la voiture et qu’elle ne me parle pas,
occupée à envoyer des textos à ses copines, à regarder son compte Instagram ou
à aller sur Facebook”, dit-il. Résigné à rencontrer des différences dans
le mode de travail et les relations avec les supérieurs, il s’est dit : “Eh bien, moi aussi, je vais consulter mon iPhone.”
Dessin de Mix & Remix paru dans L’Hebdo, Lausanne.
Source Courrier International
mercredi 20 décembre 2017
mardi 19 décembre 2017
Recettes Pâtes-Spaghettis aux truffes noires
Spaghettis aux truffes noires
Préparation : 10
mn
Cuisson : 15 mn
Pour 4 personnes
320 g de spaghettis fins
50 g de truffes noires de Norcia
2 anchois au sel
5 cuillerées à soupe d’huile d’olive
1 gousse d’ail
Sel
Poivre
1. Dans une grande casserole d’eau salée portée à
ébullition, faites cuire les spaghettis al
dente. Egouttez-les légèrement et conservez l’équivalent d’une louche
d’eau de cuisson.
2. Entre-temps, nettoyez délicatement les truffes sous
l’eau tiède, à l’aide d’une petite brosse, puis coupez-les en fines lamelles.
Pelez et écrasez la gousse d’ail. Rincez les anchois, retirez les arêtes et
coupez les filets en morceaux.
3. Chauffez l’huile dans une petite casserole et
faites revenir l’ail, que vous retirerez dès qu’il aura blondi. Retirez la
casserole du feu, mettez-y les morceaux d’anchois puis, après l’avoir remise
sur feu doux, mélangez avec une cuillère de bois pour défaire les anchois pour
défaire les anchois. Ajoutez les lamelles de truffe et mélangez soigneusement.
Après 2 à 3 minutes, assaisonnez d’une pincée de sel si besoin (les anchois
sont très salés) et d’une bonne pincée de poivre, puis retirez du feu.
4. Egouttez les spaghettis en leur laissant un peu
d’eau de cuisson, puis versez-les dans un plat de service en les mélangeant
avec la sauce.
Vous pouvez coupez les truffes d’abord en
lamelles puis en bâtonnets.
lundi 18 décembre 2017
Recettes Pâtes-Spaghettis au caviar
Spaghettis au caviar
Préparation : 5 mn
Cuisson : 8 mn
Pour 4 personnes
2 échalotes
1 botte de ciboulette
350 g de spaghettis
6 cuillerées à soupe d’huile d’olive
70 g de caviar
Sel et poivre du moulin
1. Épluchez les échalotes, émincez-les finement. Lavez et ciselez la ciboulette.
2. Portez à ébullition 3 litres d’eau salée, jetez les pâtes en pluie et remuez jusqu’à reprise de l’ébullition, puis maintenez à petits bouillons le temps indiqué sur le paquet. Goûtez les pâtes pour vérifier la cuisson «al dente» (légèrement ferme sous la dent).
3. Égouttez les pâtes, versez-les dans un saladier, arrosez-les d’huile d’olive. Ajoutez les échalotes émincées et poivrez.
4. Répartissez les pâtes dans quatre assiettes chaudes, déposez 1 cuillerée de caviar et parsemez de ciboulette ciselée. Servez aussitôt.
Ce plat ultra rapide à réaliser, mais très chic, surprendra vos convives un soir de fête.
VarianteC’est aussi bon avec des œufs de hareng fumé ou des œufs de saumon… mais c’est moins chic que le caviar.
Ultra rapideLes surgelés sont pratiques : n’oubliez pas d’utiliser des échalotes hachées surgelées.
Préparation : 5 mn
Cuisson : 8 mn
Pour 4 personnes
2 échalotes
1 botte de ciboulette
350 g de spaghettis
6 cuillerées à soupe d’huile d’olive
70 g de caviar
Sel et poivre du moulin
1. Épluchez les échalotes, émincez-les finement. Lavez et ciselez la ciboulette.
2. Portez à ébullition 3 litres d’eau salée, jetez les pâtes en pluie et remuez jusqu’à reprise de l’ébullition, puis maintenez à petits bouillons le temps indiqué sur le paquet. Goûtez les pâtes pour vérifier la cuisson «al dente» (légèrement ferme sous la dent).
3. Égouttez les pâtes, versez-les dans un saladier, arrosez-les d’huile d’olive. Ajoutez les échalotes émincées et poivrez.
4. Répartissez les pâtes dans quatre assiettes chaudes, déposez 1 cuillerée de caviar et parsemez de ciboulette ciselée. Servez aussitôt.
Ce plat ultra rapide à réaliser, mais très chic, surprendra vos convives un soir de fête.
VarianteC’est aussi bon avec des œufs de hareng fumé ou des œufs de saumon… mais c’est moins chic que le caviar.
Ultra rapideLes surgelés sont pratiques : n’oubliez pas d’utiliser des échalotes hachées surgelées.
dimanche 17 décembre 2017
samedi 16 décembre 2017
mercredi 13 décembre 2017
Billets-Le rouge-gorge est désorienté
Le rouge-gorge est désorienté
Le rouge-gorge perturbé par la pollution
électromagnétique
Selon une étude
allemande, l'oiseau pourrait dispaître des zones urbaines. Les signaux radio AM
et les appareils électroniques perturbent son système sensoriel et sa capacité
d'orientation migratoire.
Le rouge-gorge perd le
nord. C'est ce que révèle une étude de l'université allemande d'Oldenbourg
publiée dans la revue Nature mercredi. La pollution électromagnétique brouille
totalement le sens de l'orientation des rouges-gorges qui, comme beaucoup de passereaux,
se repèrent grâce au champ magnétique terrestre lors de leurs migrations. Et ce
ne sont pas les émetteurs de téléphonie mobile et leurs hautes fréquences qui
sont à blâmer mais les signaux radio AM et les équipements électroniques. Ils
provoqueraient la désertion du rouge-gorge des zones urbaines.
Entre 2004 et 2006,
les scientifiques ont remarqué que les rouges-gorges ne parvenaient plus à
s'orienter lorsqu'ils passaient à proximité du campus de l'université
d'Oldenbourg. Afin de mieux comprendre ce phénomène, ils ont effectué pendant
sept ans plusieurs expériences. La première consistait à construire de petits
abris en bois munis d'un grillage en aluminium relié au sol. Ainsi le
rayonnement électromagnétique est bloqué mais le champ magnétique terrestre
reste intact. «L'effet observé sur les facultés d'orientation des oiseaux a été
spectaculaire: avec les écrans d'aluminium en place, les oiseaux trouvaient
leur route migratoire normale», souligne l'étude.
Disparition des rouges-gorges dans les villes
Suivent alors une
série d'expériences dont le but est de déterminer ce qui désoriente le
rouge-gorge. En retirant les écrans en aluminium des abris, les scientifiques
concluent que c'est le «bruit électromagnétique» produit par les activités
humaines et les équipements électroniques du quotidien qui perturbe la boussole
des oiseaux.
Plus grave, les
rouges-gorges sont sensibles à une large gamme de fréquences, et à des
intensités dont certaines sont étonnamment faibles et inférieures aux valeurs
recommandées pour les humains par l'Organisation mondiale de la Santé.
L'intensité des ondes perturbatrices est 1000 fois inférieure à celle des
téléphones portables. Pour confirmer cette hypothèse, l'étude rapporte que le
comportement des oiseaux situés à plus d'un kilomètre des zones urbaines était
normal.
Hervé Cadiou, un
spécialiste de la perception magnétique interrogé par Le Monde nuance la
possibilité d'un lien entre le bruit électromagnétique et la disparition de
certains oiseaux migrateur des espaces urbains. «Effectivement, de moins en
moins de ces animaux évoluent en zone citadine, mais davantage de recherches
sur l'impact des ondes électromagnétiques sont
nécessaires pour établir une relation directe, explique Hervé Cadiou.
«Cependant, il est nécessaire de prendre conscience que les espaces urbains
sont complètement saturés en termes de bruit électromagnétique, ce qui n'est
pas sans conséquence.»
Crédit: Thomas Bresson sous licence creative commons
mercredi 6 décembre 2017
mardi 5 décembre 2017
lundi 4 décembre 2017
Infos santé-Le cannabis thérapeutique
Le cannabis thérapeutique
Une étude américaine suggère que la prescription
du cannabis à usage médical pourrait limiter le nombre de décès liés aux
overdoses de pilules antidouleur.
Outre
l’effet euphorisant et planant que peut procurer la consommation du cannabis,
celle-ci peut aussi être utilisée à des fins médicales. Aux USA, une dizaine
d’états l’autorisent à cet effet. Et dans ces états, les décès liés à une
overdose de médicaments antidouleur sont moins importants que dans ceux qui
l’interdisent. C’est ce qu’une récente étude publiée dans JAMA Internal Medicine révèle.
- Une diminution de 25 %
Des
chercheurs de Philadelphie ont étudié les données de certificats de décès
recueillis par le Centre de contrôle de prévention de maladies des Etats-Unis.
Ils ont constaté qu’entre 1999 et 2010, le nombre de décès par overdose aux
analgésiques opioïdes dans les états interdisant l’usage médical du cannabis
avait considérablement augmenté. En revanche, les dix états qui l'autorisent
enregistrent une dimution de 25 %. « Les patients souffrant de douleurs
chroniques pourraient donc avoir recours totalement ou partiellement au
cannabis médical pour les traiter, plutôt que de prendre ces pilules qui
peuvent provoquer une forte addiction », conclut le Pr Colleen L.Barry,
l’un des auteurs de l’étude.
- Vertus thérapeutiques
Même
surdosé, le cannabis présenterait moins de danger que l'excès de médicaments.
Il peut, certes, entraîner également une addiction et être à l’origine de
manifestations délirantes ainsi que d’une accélération du rythme cardiaque mais
sans gravité et sans provoquer de décès. Son usage médical implique, en effet,
de le consommer sous une forme non fumée, en tisane par exemple, ce qui exclut
les risques d’overdose.
Composés
de puissantes substances comme la codéine ou la morphine, les analgésiques
opioïdes sont plus à risque d’addiction. Une prise régulière de ces pilules
dépassant les prescriptions de l’ordonnance peut avoir des conséquences très
lourdes : dépression, addiction, mort par dépression respiratoire ou overdose.
Des études
antérieures ont déjà alerté sur le fléau d’addiction et de surdosage de ces
médicaments aux Etats-Unis, en Afrique du Nord et en Europe. En 2013, une
équipe de scientifiques new-yorkais indiquent que les décès liés aux
overdoses d’analgésiques s’est multiplié par 7 en l’espace de 15 ans.
Source pourquoidocteur.fr
dimanche 3 décembre 2017
Billets-Comment la France sélectionne ses élites : le cas Hollande
Comment la France sélectionne ses élites : le cas
Hollande
3 raisons peuvent être avancées pour expliquer la
monopolisation du pouvoir par une certaine élite dont François Hollande est
sans doute le plus symbolique de ses représentants.
Il y a déjà une
trentaine d’années, Michel
Crozier fustigeait la sélection de l’élite en France. L’ancien juré de
l’ENA et sociologue réputé des organisations militait pour une fermeture
immédiate de cette école. Il disait à peu près en ces termes « qu’il n’avait jamais rencontré des
étudiants aussi fermés intellectuellement ». La sélection par les
grandes écoles de ce type est un travers typiquement français : aucun pays
développé n’a eu semble-t-il l’idée de construire une « école du pouvoir
politique ». Le concept sent bien évidemment le soufre car il contient
certains des germes qui conduisent tout droit à une captation du pouvoir :
voie d’accès unique, formatage intellectuel unique, méthodes de gouvernance
uniques, réseau unique, cooptation/monogamie, étiolement culturel, etc.
Mais le problème de la
sélection des élites politiques françaises est encore plus vaste qu’il n’y
paraît. Il fallait en effet bien d’autres lacunes dans notre société pour que
cette « voie scolaire royale » puisse se développer à ce point. Si notre
classe politique est aussi saturée en énarques (ou tout simplement en agents de
la fonction publique), c’est forcément parce que d’autres niveaux
d’organisation n’ont pas fonctionné de façon optimale. Le cas Hollande est très
intéressant à ce sujet, où l’on voit qu’un individu a priori sans compétences
et sans expérience particulière pour le poste de Président, se retrouve à la
tête de notre pays au plus mauvais moment. Que s’est-il passé ?
La filière politicienne
Le parcours de F.
Hollande ressemble d’ailleurs à s’y méprendre à celui d’autres leaders
politiques actuels. À croire qu’il existe, au-delà d’une voie royale officielle
(l’ENA), un cheminement tout aussi déterminant et qui en constitue le
prolongement indispensable : UNEF, Éducation nationale, Parti Socialiste,
missions à l’Élysée, direction d’un cabinet de ministre, conseil municipal,
députation, Secrétariat national du PS… F. Hollande est devenu porte-parole du
PS, Premier secrétaire, député européen, puis maire de Tulle. En 2007, il
s’abstient de se présenter aux élections présidentielles qui verront s’opposer
S. Royal et N. Sarkozy, mais se présente à celles de 2012 et les gagne contre
ce dernier.
La nature d’un tel
parcours nous apprend beaucoup sur les travers de notre pays :
exclusivement cantonné dans le secteur public et subventionné, celui-ci se
trouve de facto protégé de toute contrainte d’efficacité et d’efficience. Alors
que la différence entre ces deux notions est une obsession quotidienne chez les
chefs d’entreprises, aucune n’a vraiment cours dans ce parcours effectué sous
les lambris des hôtels ministériels et municipaux, parmi les arcanes et parfois
les alcôves des partis politiques, au beau milieu de leurs joutes florentines
si spécieuses.
Quelles sont les
qualités qui transparaissent d’un tel pédigree ? Strictement rien n’y
démontre un quelconque succès sur les plans économique, social ou managérial.
En tant que maire de Tulle, les résultats sont même consternants (endettement
record). À l’inverse, on y devine en filigrane un puissant talent
relationnel : tout le monde n’est pas capable de naviguer dans les cercles
proches du Président Mitterrand et de ses ministres, tout le monde n’est pas
capable de manœuvrer de façon virtuose au sein d’un Parti socialiste jusqu’à en
atteindre la plus haute marche malgré la cacophonie qui le caractérise à
l’époque…
Ce sont
indiscutablement des qualités relationnelles, des dons en matière de
diplomatie, des capacités à élaborer des synthèses impossibles entre des clans
qui ne se supportent pas. Ce sont des compétences, le nier serait malhonnête.
Mais suffisent-elles pour faire un Président de la République ? Ne
seraient-elles pas plutôt tournées vers la réussite individuelle ? Ne
sont-elles pas dramatiquement dénuées des autres qualités indispensables que
sont le courage, le pragmatisme, la vision, l’anticipation, l’efficacité, le
dévouement ?
Il y a même quelque
chose d’effrayant dans ce cheminement car il s’avère être le tremplin le plus
efficace pour atteindre la responsabilité suprême, alors qu’il évite la vraie
vie économique… Comme une sorte d’ascenseur qui évoluerait au mépris du monde ultra
concurrentiel de l’entreprise mais qui permettrait ensuite à ceux qui
l’empruntent d’en diriger les règles de fonctionnement…
Il existe donc
aujourd’hui, dans la société française, un parcours protégé et comparativement
peu exigeant qui se permet le luxe de surpasser l’ensemble des autres parcours
pourtant bien plus challengés. En d’autres termes, un diplômé sans la moindre
expérience professionnelle réussie a la possibilité de prendre la direction de
notre pays et de l’ensemble de son économie parce qu’il aura su barboter dans
les cercles idoines. Et de façon tout aussi diabolique, des partis politiques
tels que le PS ne sont rien d’autre que des écuries de course qui, loin du
monde réel, élèvent en circuit fermé des chevaux pour gagner l’ultime
compétition électorale.
Comment en sommes-nous
arrivés là ? L’existence de la filière elle-même n’explique pas tout. Pour que
de telles choses deviennent possibles, ne faut-il pas compter sur d’autres
éléments favorables tels que la bienveillance des médias et la naïveté des électeurs ?
La bienveillance des médias
Depuis le fameux
sondage post élection présidentielle, nous savons que 74% des journalistes ont
voté F. Hollande. Ce score à la soviétique constitue un splendide raccourci sur
le rapprochement qui s’est opéré entre les médias, et les écuries des étalons socialistes.
Il existe beaucoup
d’autres pays dans lesquels des journalistes auraient posé quelques problèmes
au candidat socialiste en matière de programme économique. Dans une nation qui
recule régulièrement d’un point de vue économique et social (chômage de masse,
croissance, PIB, PIB/habitant, part de marché mondiale, part de marché
industrielle, dette, niveau scolaire, création d’entreprises, etc.) et qui est
déjà parmi les champions mondiaux de la pression fiscale et des prélèvements,
proposer une réforme fiscale visant à prendre encore plus aux riches et aux
entreprises avait en effet de quoi surprendre. Il y avait au minimum matière à
débat…
Or F. Hollande a t-il
eu des difficultés à faire passer son message égalitariste en dépit d’un
contexte qui ne le permettait même plus ? A-t-il été challengé par
la presse et la télévision ? A-t-il dû affronter des débats
contradictoires réguliers face à des spécialistes de l’économie et de la
politique ? La réponse est clairement négative. Les débats ont été d’une
extrême rareté. Et la plupart des médias étant de gauche, le message a été
diffusé tel quel, dénué de la moindre critique de fond, comme s’il était
la bonne parole en provenance d’un messie du Bien…
La naïveté des électeurs
Pour accepter un
programme économique aussi inepte que celui de F. Hollande, il ne manquait plus
qu’une bonne dose de crédulité populaire. Gagner les élections en jouant sur le
ressentiment anti-riche, en faisant miroiter le confort des pauvres grâce aux
ponctions dans la poche des nantis, et en promettant de réduire le chômage en
recrutant encore et toujours plus de fonctionnaires, n’était-ce pas la preuve
d’une immense naïveté ? C’est ici sans doute que réside l’un des plus gros
problèmes de la France (cf. les statistiques dans « Les
différentes formes de pouvoir et le probable futur de notre démocratie »).
Certes, l’inculture économique d’une grande partie de sa population n’est que
le fruit de décennies de mensonges et de déresponsabilisation. Elle n’est que
la triste conséquence d’une captation du pouvoir par une nomenklatura politique
chimérique. Elle n’est que le reflet naturel d’une Éducation Nationale qui en a
épousé la doxa et qui perpétue auprès de chaque génération le mythe étatique.
Mais maintenant que
cette immaturité économique est un fait avéré, comment notre pays peut-il s’en
sortir ? Comment peut-il éviter la victoire du populisme contre le
principe de réalité ? La victoire de la facilité contre l’effort de
désendettement ? La victoire de la fermeture des frontières contre le
réveil de notre compétitivité ?
Après des décennies de
falsification des faits, de mensonges politiques répétés par les médias, de
centralisation du pouvoir, de clonage des profils administratifs au sommet de
notre État, le tableau n’est pas brillant. Nous sommes actuellement dans la zone
rouge. N’ayons pas peur de le dire : n’importe qui peut gagner les
prochaines élections. Les conditions sont idéalement réunies.
Source contrepoints.org
samedi 2 décembre 2017
Recettes Chocolats-Fondants chocolat
Fondants chocolat
Préparation : 45 mn
Cuisson : 20 mn
Pour 4 personnes
Pour les fondants
160 g de chocolat noir amer
120 g de beurre
20 g de beurre pour les moules
1 œuf
3 jaunes d’œuf
30 g de sucre semoule
6 pincées de piment doux (paprika)
Pour la sauce caramel
55 g de sucre
10 cl de crème fleurette
2 cuillerées à soupe de lait tiède
25 g de chocolat noir amer
5 g de beurre demi-sel
Pour le jus au piment doux
35 g de sucre
1 cuillerée à café d’amidon de maïs (ou
Maïzena)
2 à 3 pincées de piment doux
1. Réalisez la sauce au caramel : mettez le sucre à cuire dans une casserole jusqu’au
caramel. Hors du feu, ajoutez le lait, puis la crème fleurette. Portez à
ébullition, versez cette crème caramélisée en trois fois sur le chocolat amer
cassé en morceaux. Laissez un peu tiédir, ajoutez le beurre demi-sel en
fouettant. Gardez au frais.
2. Pour les
fondants au chocolat : faites fondre le
beurre sur feu doux, ajoutez le piment doux. Laissez infuser 20 minutes. Cassez
le chocolat dans un bol au bain-marie pour le faire fondre. Mélangez au batteur
électrique l’œuf entier, les jaunes et le sucre, ajoutez le chocolat et le beurre
fondus. Beurrez quatre ramequins de 7 cm de diamètre. Versez-y la préparation.
Préchauffez le four à 200 °C (th. 6-7).
3. Faites le jus : mettez 20 g de sucre à caraméliser. Ajoutez 15 cl d’eau et
l’amidon de maïs (ou la Maïzena), portez à ébullition, ajoutez le restant de
sucre et le piment. Laissez infuser 20 minutes.
4. Sans attendre que le jus
ait totalement infusé, faites cuire les fondants 8 minutes au four. Laissez
tiédir 10 minutes. Répartissez la sauce et le jus au piment dans les assiettes.
Démoulez les fondants dessus. Servez.
Afin d’éviter les grumeaux, délayez l’amidon de
maïs avec un peu d’eau froide avant de l’incorporer au caramel.
Avis sur les épices :
Le piment doux, ou paprika, s’éparpille en
tonalités chaudes de fruit caramélisé qui, exaltées par les saveurs beurrées et
lactées, intensifient les arômes de cacao. Un clin d’œil au breuvage des Incas
qui servaient le chocolat avec du piment non pas doux, mais fort. Essayez aussi
le poivre de Java. Son piquant et ses arômes de fleur tropicale s’associent
merveilleusement au chocolat.
Recettes Tartes-Tarte au chocolat
Tarte au chocolat
Préparation : 30 mn
Repos : 2 heures
Cuisson : 25 mn
Pour 6 personnes
Pour la pâte
1 gousse de vanille
2 jaunes d’œufs
200 g de farine
40 g de poudre d’amandes
120 g de sucre glace
150 g de beurre
2 pincées de fleur de sel
Pour la ganache
250 g de chocolat pâtissier au lait
20 cl de crème liquide
Pour le glaçage au chocolat
100 g de chocolat noir
30 g de beurre
50 g de sucre glace
Sucre glace
Préparation de la pâte
1. Préchauffez le four à
180° C (th. 6).
2. Fendez la gousse de
vanille en deux dans la longueur et grattez les graines avec la pointe d’un
couteau. Mélangez-les dans un bol avec les jaunes d’œufs. Mettez la farine, les
amandes, le sucre glace, la fleur de sel et le beurre en morceaux dans le bol
du mixeur. Ajoutez les jaunes d’œufs et la vanille. Mixez à nouveau. Ramassez
la pâte obtenue en boule. Aplatissez-la en cercle avec le plat de la main.
Enveloppez-la d’un film alimentaire et gardez-la au réfrigérateur 1 heure.
3. Étalez la pâte.
Garnissez-en un moule à tarte de 24 cm de diamètre. Piquez le fond à la
fourchette. Recouvrez de papier de cuisson, puis de légumes secs. Faites cuire
15 minutes au four. Retirez le lest. Poursuivez la cuisson 10 minutes.
Préparation de la ganache
4. Hachez le chocolat au
lait. Portez la crème à ébullition. Versez-la bouillante sur le chocolat.
Couvrez. Laissez reposer 3 minutes puis mélangez. Versez dans le fond de tarte.
Laissez refroidir et placez 1 heure au réfrigérateur.
Préparation du glaçage
5. Faites fondre le chocolat
noir avec le beurre, au micro-ondes ou au bain-marie. Ajoutez 30 g de sucre
glace. Lissez le mélange. Versez tiède sur la ganache durcie et étalez pour en
recouvrir toute la surface. Laissez refroidir à température ambiante puis
saupoudrez du reste de sucre glace.